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Ce blog partage des informations clé sur les programmes et évènements ACP-UE à Bruxelles importants pour le développement agricole et rural des pays ACP.
Date : [DATE] Bulletin du Bureau de Liaison du CTA à Bruxelles
Principaux évènements de la semaine.
- Briefing de Bruxelles: La volatilité des prix alimentaires
- Principaux évènements pour la semaine du 14/11 au 18/11/2011
- Notre invité vidéo: Dr. Bart Van Vooren, Université de Copenhague
- Nouveau groupe d’experts sur une « plate-forme pour la coopération »
- UE : faire de la lutte contre la malnutrition une priorité absolue
- Rapport de Concord: Les politiques UE sapent les droits des pays du Sud
- La Commission et l'OIM rationalisent leur coopération
- Andris Piebalgs en Ouganda pour parler de financements innovants
- Avec l’aide de l’UE, un port d’urgence a été construit à Antigua
- Les Comores s’engagent à coopérer dans la lutte contre la pêche INN
- Désaccord au Conseil des Ministres sur la TTF
- L’UE soutient le développement rural au Timor oriental
- Les résultats du G20: Le PAM content, les ONG réservés
- Un avenir guère réjouissant pour l’industrie caribéenne du sucre
- 190 millions d’euros en faveur des exportateurs de bananes ACP
- Le Samoa pourra accéder à l'OMC en Décembre
- L’UE refuse d’autoriser les produits laitiers sud-africains
- Dacian Cioloş défend la réforme de la PAC
- Le Forum Carib-Cap élabore de nouveaux modèles pour la microfinance
- Caraïbes: Des subventions UE pour les exportateurs de nourriture
- Doha: Une étude de l'UE montre d'importantes retombées économiques
- Afrique australe: Un accord UDAA-Mercosur se prépare
- L’UE prêt à une levée des sanctions à l’encontre de Fidji
- Oxfam prévoit la plus forte réduction de l’aide de ces 15 dernières années
- Briefing de Bruxelles: La volatilité des prix alimentaires
2011-11-11 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Politique ACP-UE, Archives
Le prochain Briefing de Bruxelles sur le développement aura lieu le 30 novembre 2011 et sera organisé en partenariat avec le International Food Policy Research Institute (IFPRI), le Comité économique et social européen (CESE), la Commission européenne (DG DEVCO), le Secrétariat ACP, Concord et d’autres partenaires.
Nous aborderons les principaux défis de la volatilité des prix alimentaires et donneront un résumé des principaux enjeux politiques discutés lors de la réunion du G20 qui ont des implications pour les pays ACP. Nous traiterons ensuite des effets de la volatilité des prix alimentaires sur le terrain en présentant les expériences diverses de différents acteurs. Nous identifierons également les mesures de politique urgentes et concrètes qui doivent être mises en place afin d’atténuer les effets négatifs de la volatilité des prix alimentaires.
Parmi les intervenants, nous sommes heureux d’accueillir entre autres Hafez Ghanem de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Maximo Torero du International Food Policy Research Institute (IFPRI), Mamadou Cissokho du Réseau des Organisations paysannes et de Producteurs de l’Afrique de l’Ouest (ROPPA), Chris Moore du Programme alimentaire mondial (PAM) et des représentants des gouvernements français et mexicains.
Pour savoir plus sur le Briefing, veuillez consulter le site http://bruxellesbriefings.net ou vous abonner aux alertes emails sur les Briefings de Bruxelles.
Briefings de Bruxelles
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G20 sur la volatilité des prix
- Principaux évènements pour la semaine du 14/11 au 18/11/2011
2011-11-11 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Archives, Pêche Régionale, Environnement, Efficacité Aide, Commerce ACP-UE, Développement rural, Politique alimentaire, Politique ACP-UE
Parlement européen -14-17 novembre : Session plénière (Strasbourg) -14-17 novembre : Réunion des commissions (Strasbourg) Conseil des Ministres -14 novembre : Conseil agriculture et pêche -14 novembre : Conseil des affaires étrangères -15 novembre : Conseil des affaires générales -16 novembre : Coreper II -16 novembre : Coreper I Commission européenne -15 novembre : Rencontre hebdomadaire du collège (Strasbourg) ACP-UE -16-20 novembre : 22ème réunion de l’Assemblée parlementaire paritaire Groupe ACP -14 novembre : Conférence de haut niveau sur l’énergie renouvelable -16-20 novembre : 26ème réunion de l’Assemblée parlementaire paritaire Vous pouvez également lire notre quotidien anglais « CTA Brussels Daily » (alimenté par Twitter) et nous suivre à travers notre nouveau group de Facebook CTABrussels ainsi que notre compte Twitter CTABruxelles pour recevoir les dernières informations UE-ACP.
Parlement européen
Conseil des Ministres
Groupe des Etats ACP
- Notre invité vidéo: Dr. Bart Van Vooren, Université de Copenhague
2011-11-11 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Politique ACP-UE
Le Dr Bart Van Vooren est le professeur assistant pour le droit européen auprès de la faculté de droit de l'Université de Copenhague. Dans cette interview, pris lors d'un débat récent à Bruxelles, le Dr Van Vooren explique les avantages et les inconvénients d'une taxe européenne sur les transactions financières.
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Désaccord au Conseil des Ministres sur la TTF
Robin Hood va rester
- Nouveau groupe d’experts sur une « plate-forme pour la coopération »
2011-11-11 Catégorie(s) : Efficacité Aide
Un groupe d’experts de la Commission européenne composé de représentants issus du Service européen pour l’action extérieure (SEAE), de la Banque européenne d’investissement (BEI) et d’autres Etats membres de l’UE examinera les avantages potentiels qui découleraient de la mise en place d’une plate-forme européenne pour la coopération extérieure et le développement. Cette plate-forme viserait à renforcer l’efficacité et l’impact de l’ensemble des activités de coopération extérieure en optimisant le fonctionnement des mécanismes permettant de combiner les prêts et les dons. La Commission européenne devra d’ici la mi-2012 présenter ses conclusions au Parlement européen et au Conseil qui décideront de la suite à donner au projet.
Philippe Maystadt, président de la BEI, a déclaré : « Compte tenu des contraintes budgétaires auxquelles sont soumis les Etats européens, il devient de plus en plus important pour la CE, la BEI, les Etats membres et les autres institutions financières de l’UE d’unir leurs forces afin de soutenir l’agenda ambitieux de politique extérieure de l’UE. Je pense fermement que nous devons allier l’expertise et les ressources de tous les acteurs afin d’optimiser l’efficacité des financements de l’UE pour renforcer l’appui aux pays partenaires ».
Le Parlement européen et le Conseil de l’Europe ont demandé à la Commission européenne d’instituer un groupe d’experts composé de représentants des Etats membres, du Service européen pour l’action extérieure et de la Banque européenne d’investissement, avec pour mission d’évaluer les coûts et les avantages découlant de la mise en place d’une « plate-forme européenne pour la coopération extérieure et le développement ». Le groupe d’experts consultera d’autres acteurs concernés, notamment des institutions financières multilatérales et bilatérales. Sur la base des résultats obtenus, la Commission remettra son rapport au Parlement européen et au Conseil d’ici la mi-2012 et, le cas échéant, formulera une série de recommandations pour la mise en place d’une telle plate-forme.
Source: BEI
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BEI
SEAE
- UE : faire de la lutte contre la malnutrition une priorité absolue
2011-11-11 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Politique alimentaire, Politique ACP-UE, Archives
Dans son discours à l’occasion d’une conférence de haut niveau sur la malnutrition, le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a appelé la communauté internationale à intensifier ses efforts pour lutter contre la malnutrition dans le monde. La naissance récente du sept milliardième être humain a conduit Herman Van Rompuy à se poser la question de savoir si cet enfant grandirait dans un environnement sain et si notre planète parviendrait à le nourrir.
La Commissaire européenne aux affaires humanitaires, Kristalina Georgieva, a ajouté que le manque de solutions proposées pour éradiquer la malnutrition pourrait compromettre la réalisation de 6 des 8 Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). En juin 2011, un briefing de Bruxelles a mis en exergue le fait que la malnutrition était directement ou indirectement responsable d’environ la moitié des décès dans le monde. En présence du nouveau directeur général de la FAO, José Graziano da Silva, des experts en politique alimentaire et des chercheurs internationaux ont exposé les problèmes qui préoccupent le monde d’aujourd’hui et suggéré des solutions pour y faire face.
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Herman Van Rompuy
Briefing Sécurité nutritionnelle dans les pays ACP
- Rapport de Concord: Les politiques UE sapent les droits des pays du Sud
2011-11-11 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Archives, Environnement, Efficacité Aide, Commerce ACP-UE, Développement rural, Politique ACP-UE
Les politiques de l’Union européenne contournent de manière grave les droits des pays en voie de développement, selon un nouveau rapport lancé le 7 novembre par CONCORD, la confédération des ONG européennes de développement. Le rapport montre des incohérences entre les objectifs de développement de l’UE et des autres politiques de l’Union européenne. Le rapport intervient à un moment crucial où l’UE réforme ses politiques d’agriculture, de commerce et de développement.
Le rapport est un effort conjoint des ONG européennes de développement et des organisations de la société civile, coordonnés par CONCORD. Le rapport fait suite à un rapport précédent en 2009. Dans le rapport 2011, CONCORD met le doigt sur les incohérences des politiques actuelles de l’UE par rapport à la sécurité alimentaire, la gestion des ressources naturelles, la sécurité humaine et la migration. Ensuite, le rapport propose des mesures alternatives et plus justes qui respectent les droits de l’hommes de tous.
Le rapport révèle que
- L’UE n’atteint pas son objectif stipulé par le traité de Lisbonne de rendre ses politiques cohérentes pour qu’elles ne sapent pas les objectifs de développement.
- L’UE peut clairement améliorer l’impact de son aide au développement de 53 billion d’euros par an si elle s’engage plus clairement en faveur de la Cohérence des politiques pour le développement.
Source: CONCORD
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Consulter le rapport [PDF]
CONCORD
- La Commission et l'OIM rationalisent leur coopération
2011-11-11 Catégorie(s) : Archives
La Commission européenne et l'organisation internationale pour les migrations (OIM) sont convenues aujourd'hui de renforcer leur coopération dans le domaine des migrations et de la mobilité. Les commissaires Cecilia Malmström (affaires intérieures) et Andris Piebalgs (développement) ont signé un accord-cadre avec le directeur général de l'OIM, M. William L. Swing. L'accord-cadre met en place des méthodes de coopération plus simples et plus efficaces en simplifiant et en rationalisant la procédure des négociations contractuelles entre l'UE et l'OIM. Il s'applique à tout programme, projet ou opération administré par l'OIM et financé ou cofinancé par l'Union européenne. […]
Le commissionaire Piebalgs a déclaré : «La migration a un impact sur les pays en voie de développement. L'UE entend traiter les problèmes que rencontrent les quelque 200 millions de migrants à travers le monde et aider les pays confrontés aux défis liés à la migration. Grâce à ce nouvel accord nous renforcerons notre coopération avec l'OIM et notre aide pourra parvenir aux migrants qui en ont besoin». […]
La Commission européenne a mis au point un modèle d'accord général qu'elle applique à ses relations contractuelles avec les organisations internationales («convention de contribution avec une organisation internationale»). L'accord-cadre conclu aujourd'hui vise à adapter les dispositions standard de la convention de contribution aux besoins spécifiques de l'OIM. Il simplifiera davantage les négociations contractuelles pour chaque convention de contribution à conclure entre la Commission et l'OIM pour des programmes ou des projets spécifiques futurs.
Source: Commission européenne
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OIM
Des accords-cadre précédents
- Andris Piebalgs en Ouganda pour parler de financements innovants
2011-11-10 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Développement rural, Politique alimentaire
Cette semaine, le commissaire européen au développement, Andris Piebalgs, s'est rendu en Ouganda pour une visite de deux jours. En concertation avec le gouvernement et les représentants du secteur privé, il s'est penché sur la manière dont des partenariats public-privé peuvent améliorer l’accès au financement des petites et moyennes entreprises du secteur de l’agriculture et de l’agro-industrie. Le commissaire a également inauguré une route financée par l'UE qui est essentielle pour les échanges transfrontaliers dans la région. Il a rencontré, entre autres, le président Yoweri Museveni et le Premier ministre Amama Mbabazi. [...]
Lors d’une table ronde de haut niveau, le 8 novembre, M. Piebalgs a expliqué en quoi des modes de financement innovants, tels que le mélange de fonds publics et privés, peuvent aider à stimuler le financement des petites et moyennes entreprises de l’agriculture et de l’agro-industrie (de l'agroalimentaire, par exemple). Il a signé, avec les représentants du gouvernement et des entreprises, une «déclaration d'intentions conjointe» visant à explorer plus avant des solutions concrètes. L'agriculture est un secteur clé de l’économie ougandaise et contribue au PIB national à hauteur de 24 %. Le pays a de nombreux atouts lui permettant de devenir un grand exportateur net dans la région et au-delà. L'agro-industrie représente 40 % du total de son industrie manufacturière.
Le 9 novembre, M. Piebalgs a officiellement inauguré un tronçon de 99 km, financé par l'UE, de l'autoroute Masaka-Mbarara, dans le couloir nord régional, qui joue un rôle essentiel en reliant les économies de l'Afrique orientale et de la région des Grands Lacs à l'océan Indien (Kenya-Ouganda-Rwanda-République démocratique du Congo). Il a également assisté à la cérémonie d'ouverture d'un autre tronçon de cette voie, entre Mbarara et Katuna.
La nouvelle route contribuera à la réduction du temps de trajet et du coût d'entretien des véhicules, ce qui aura un impact positif sur le développement économique. Il a été estimé que 1 % de réduction dans les frais de transport donnera lieu à une augmentation de 2,5 % du volume des échanges. Le secteur des transports, qui représente 6 % du PIB de l’Ouganda, est dominé par le secteur routier, qui achemine plus de 90 % du commerce intérieur.
Source: Commission européennne
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Des informations supplémentaires
Délégation de l'UE en Ouganda
- Avec l’aide de l’UE, un port d’urgence a été construit à Antigua
2011-11-10 Catégorie(s) : Archives
L’UE a financé une nouvelle facilité pour un ferry d’urgence à Antigua pour donner à cette île la possibilité de réagir rapidement à des catastrophes naturelles. En 1995, l’Ouragan Luis a atteint l’Antigua et Barbuda, tandis qu’une éruption du Volcan Soufriere a menacé le Montserrat la même année.
La nouvelle facilité permettra à l’Antigua d’évacuer sont territoire dans le cas d’une urgence et permet également d’alimenter le Montserrat avec des aides d’urgence. Le CARIFORUM a rendu ce projet une priorité et a exprimé sa gratitude envers l’Union européenne pour la contribution UE au financement de la facilité.
Source: IPSNews
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CARICOM
Coopération de l'UE avec Antigua & Barbuda
- Les Comores s’engagent à coopérer dans la lutte contre la pêche INN
2011-11-10 Catégorie(s) : Pêche Régionale
Les membres d’une délégation de la Commission européenne et d’une délégation de l’Union des Comores se sont réunis dans le cadre d’un comité mixte pour examiner une série de questions relatives à la mise en œuvre de l’accord de partenariat entre l’UE et l’Union des Comores dans le secteur de la pêche.
A la demande de la délégation de l’UE à Maurice, une discussion a été organisée afin de trouver les moyens de renforcer la lutte contre la pêche INN (illégale, non déclarée et non réglementée). La délégation européenne a évoqué la présence en 2010 dans les eaux sénégalaises de deux navires battant pavillon comorien exerçant leur activité sans autorisation conforme aux dispositions du Code de la pêche maritime sénégalais. Réagissant à la correspondance envoyée par la Commission européenne, désireuse d’obtenir des informations sur ces navires, dans le cadre du comité mixte, les autorités compétentes de l’Union des Comores se sont fermement engagées à retirer le pavillon comorien de ces deux navires de pêche.
En outre, les Comores se sont engagées à mettre en œuvre une coopération plus étroite entre leur ministère du Transport et leur ministère de la Pêche, chargé de mettre à jour en temps réel la liste internationale des navires de pêche INN pour permettre aux autorités compétentes d’empêcher l’immatriculation future de navires battant pavillon comorien engagés dans des activités de pêche INN.
La Commission européenne se félicite des mesures et des engagements pris par les autorités comoriennes afin de lutter plus efficacement contre la pêche INN.
Source: Commission européenne
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Partenariat de pêche UE-Comores
Coopération de l'UE avec les Comores
- Désaccord au Conseil des Ministres sur la TTF
2011-11-10 Catégorie(s) : Efficacité Aide
A l’issue de la réunion des 27 ministres des Finances qui discutait une taxe sur les transactions financières (TTF), le 8 novembre, deux camps se sont clairement dessinés. Le duo franco-allemand, appuyé par l’Espagne, fait face à la fronde des pays anglo-saxons, désormais très offensifs. « Je suggérerais que nous enterrions cette idée », a asséné le ministre des Finances britannique, George Osborne.
Source: Euractiv.fr
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Consulter les conclusions du Conseil [PDF]
Interview vidéo avec Bart Van Vooren
- L’UE soutient le développement rural au Timor oriental
2011-11-09 Catégorie(s) : Développement rural
L’Union européenne a financé, au titre du 10ème FED, un projet de 10 millions d’euros intitulé Améliorer l’accessibilité des zones rurales (Enhancing Rural Access - ERA), qui a pour objectif la réhabilitation et l’entretien des routes rurales au Timor oriental. Mis en œuvre pour une durée de quatre ans (2011-2015), ce projet sera piloté par l’Organisation mondiale du travail (OIT) et axé sur la réhabilitation des routes fondée sur les ressources locales et le développement du secteur privé.
Le projet ERA vise à améliorer l’accessibilité aux zones rurales à travers la réhabilitation et l’entretien d’un tronçon de routes prioritaires de 150 km dans certains districts préalablement sélectionnés du Timor oriental. Il vise en outre à développer les capacités du secteur privé, notamment en négociation et gestion de contrats. L’identification des routes à réhabiliter sera effectuée dans le cadre du Plan directeur pour les routes rurales au Timor oriental, également financé par l’UE.
L’économie du Timor oriental est essentiellement basée sur l’agriculture. Près de 75 % de la population totale (estimée à 1,1 million d’habitants) vit en zone rurale. L’état déplorable des infrastructures en général, et du réseau routier en particulier, constitue un obstacle majeur au développement économique. L’autre problème structurel majeur de l’économie est l’incapacité à créer des opportunités d’emploi pour une main d’œuvre sans cesse croissante. Le projet devrait contribuer à la création de nouvelles opportunités d’emploi pour quelque 13 000 personnes vivant en milieu rural.
Source: Délégation de l'UE au Timor oriental
Délégation de l'UE au Timor oriental
Améliorer l’accessibilité des zones rurales
Coopération de l'UE avec le Timor oriental
- Les résultats du G20: Le PAM content, les ONG réservés
2011-11-09 Catégorie(s) : Archives, Sécurité alimentaire, Environnement, Commerce ACP-UE, Développement rural, Politique alimentaire, Politique ACP-UE, Efficacité Aide
Quand les chefs d’Etats et de gouvernement du G20 ont quittait Cannes après un sommet de deux jour les 3 et 4 Novembre, ils avaient avancé leurs engagements dans le développement et la lutte contre le changement climatique – mais leurs engagements dans le domaine de la sécurité alimentaire restait maigre.
Le sommet a avancé l’établissement d’une taxe sur les transactions financières (TTF). Non seulement la France, l’Espagne et l’Allemagne, mais aussi le Brésil, l’Argentine, l’Ethiopie et l’Afrique du Sud se sont prononcés en faveur d’une TTF, et tous affirment que cette taxe devrait être utilisé pour le développement. Les Etats-Unis, bien que opposés à l’introduction d’une TTF eux-mêmes, ont accepté l’idée que les Européens pourraient introduire une telle taxe.
Le G20 a également avancé par rapport au financement innovateur pour lutter contre le changement climatique. Leur engagement de chercher de nouvelles sources de financement, un engagement mené surtout par l’Europe, doit donner suite à un accord pour la taxation des émissions de carbone du transport maritime lors des négociations climatiques de l'ONU à Durban à la fin du mois », espère Oxfam. Les dirigeants ont également reconnu les dommages que les entreprises multinationales infligent sur les pays en voie de développement en évitant les taxes bien qu’elles opèrent dans le pays.
Il y a moins de progrès sur la sécurité alimentaire. Vu que les prix alimentaires sont à un niveau record et le Président français Sarkozy a promis du leadership, ActionAid avait beaucoup d’espoir que les leaders du G20 pourrait prendre des mesures courageux à Cannes pour adresser l’insécurité alimentaire dans le monde. Mais à part la reconnaissance long attendue du projet de réserves de nourriture d’urgence en Afrique de l’Ouest, selon ActionAid les leaders du G20 ont échoué de proposer de l’action sérieuse qui pourrait prévenir des crises alimentaires. Le G20 a également continué de refuser même de discuter l’idée d’utiliser des réserves stratégiques de nourriture, l’outil le plus efficace des gouvernements pour modérer la volatilité des prix alimentaires.
Sur le côté positif, le G20 s’est mis d’accord que les produits alimentaires achetés par les Programme d’alimentation mondial (PAM) ne fera pas l’objet des restrictions d’exportation ou des taxes extraordinaires.
Source: CTA
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La réaction d'Oxfam au sommet G20
Sécurité alimentaire: Le G20 rate l'occasion
- Un avenir guère réjouissant pour l’industrie caribéenne du sucre
2011-11-09 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
L’Association du sucre pour les Caraïbes (SAC) a enregistré cette année une croissance de la production, mais une récente proposition de l’Union européenne visant à abolir le régime des quotas domestiques pourrait contribuer à une réduction du volume des exportations préférentielles de sucre de la SAC et d’autres associations ACP vers les marchés européens. Le président de la SAC, M. Karl James, a indiqué que, sur une production totale de 500 000 tonnes de sucre cette année, 312 000 tonnes avaient été exportées vers l’UE. La progression de l’euro face au dollar constitue un avantage comparatif important. Les pays ACP et les pays les moins avancés (PMA) exportateurs de sucre de canne brut ont déjà exprimé « leurs inquiétudes et leur vive désapprobation eu égard aux propositions de la CE (annoncées le 12 octobre dernier) de déréguler sa propre production dans le cadre de la réforme de la Politique agricole commune (PAC). La PAC montre dans quelle mesure l’UE entend gérer son secteur agricole pendant la période budgétaire 2014-2020, et la proposition sur le sucre devrait prendre effet à compter du 30 septembre 2015.
Source: IPSNews
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Les exportateurs de sucre déplorent la PAC
Sucre ACP-UE
- 190 millions d’euros en faveur des exportateurs de bananes ACP
2011-11-09 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Politique alimentaire, Politique ACP-UE
Dix pays ACP vont bénéficier d’une enveloppe de 190 millions d’euros dans le cadre d’un programme temporaire (2010-2013) de mesures d’accompagnement en faveur des pays ACP dans le secteur de la banane. Ce compromis a été adopté après de longues négociations entre le Parlement européen, le Conseil et la Commission européenne.
Les fonds seront alloués selon trois critères : la place du secteur de la banane dans le pays ACP, les exportations bananières et la phase de développement économique du pays.
Les négociations ont également débouché sur un compromis au sujet de la requête du Parlement concernant l’adoption définitive des programmes pluriannuels de mise en œuvre des trois instruments de financement pour l’action extérieure (Fonds européen de développement, Instrument de coopération au développement, Instrument européen de voisinage et de partenariat) par voie d’actes délégués, qui aurait permis de contourner la procédure législative ordinaire et de donner au Parlement le droit de s’opposer au projet de mesure de la Commission.
Dans ce compromis, le Conseil s’est engagé à examiner l’option visant à appliquer la procédure des actes délégués aux instruments financiers pour l’action extérieure lors des négociations sur le cadre financier pluriannuel 2014-2020. Avant que ce compromis ne devienne effectif, le Parlement et le Conseil devront l’avoir approuvé d’ici fin novembre.
Source: CTA/Europolitics
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Bananes ACP
Perspectives pour les producteurs de bananes ACP
- Le Samoa pourra accéder à l'OMC en Décembre
2011-11-09 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Le Groupe de travail de l’accession du Samoa a adopté l’ensemble de textes relatifs à l’accession, qui comprend les réformes apportées au régime commercial du Samoa, les listes concernant l’accès aux marchés pour les marchandises et les services, le projet de décision du Conseil général et le projet de Protocole d’accession. Le Samoa a demandé à accéder à l’OMC le 15 avril 1998.
Les Membres ont félicité le Samoa pour ses efforts louables dans la conduite de toutes les réformes nécessaires pour devenir Membre de l’OMC. Ils ont ajouté que cette accession contribuerait au développement économique du pays.
M. Pascal Lamy, Directeur général de l’OMC, a dit ce qui suit: “l’accession du Samoa à l’OMC est un signe de confiance dans l’Organisation et dans le système commercial mondial. Elle permettra à ce pays de participer plus pleinement à l’économie mondiale et lui apportera une base prévisible et stable pour sa croissance et son développement. L’accession du Samoa est une bonne nouvelle pour la famille de l’OMC, alors que nous nous apprêtons à nous retrouver pour célébrer la 8ème Conférence ministérielle”.
Source: OMC
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Coopération de l'UE avec le Samoa
Organisation mondiale du commerce (OMC)
- L’UE refuse d’autoriser les produits laitiers sud-africains
2011-11-09 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Archives
Dans un communiqué rendu public sur allAfrica.com, le ministère de l’Agriculture, des Forêts et de la Pêche (DAFF) est revenu sur une déclaration (publiée le 16 septembre 2011) stipulant que les exportateurs étaient invités à déposer une demande d’autorisation d’exporter vers l’Union européenne les produits agricoles suivants : fromage, fleurs coupées, fraises congelées, fruits en conserve (poires, abricots et pêches), jus d’orange congelé, jus d’ananas, jus de pomme, vin blanc et vin rouge.
Le ministère est revenu sur cette déclaration, indiquant qu’aujourd’hui, l’Union européenne n’autorisait pas l’Afrique du Sud à exporter ses produits laitiers, y compris le fromage, vers les marchés européens.
Selon le ministère, « pour pouvoir exporter ses produits laitiers vers l’Union européenne, l’Afrique du Sud devra respecter les exigences de l’UE en matière d’importations – plan de surveillance des résidus et nécessité de se conformer aux exigences de traçabilité inclus ».
Le ministère reconnaît que la mise en place du processus sera longue et coûteuse. « Nous ne pensons pas que ces mesures seront mises en œuvre à temps pour permettre aux exportateurs de bénéficier des préférences tarifaires indiquées dans ce communiqué », a-t-il déclaré. Et d’ajouter que « le ministère de l’Agriculture, des Forêts et de la Pêche souhaiterait par ailleurs s’excuser auprès des exportateurs pour avoir fait figurer par erreur le fromage sur la liste des produits autorisés à l’exportation ».
Source: AllAfrica
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Relatinos de l'UE avec l'Afrique du Sud
Partenariat ACP-UE
- Dacian Cioloş défend la réforme de la PAC
2011-11-08 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Politique alimentaire, Environnement, Commerce ACP-UE
Le commissaire à l'agriculture, Dacian Cioloş, a dû affronter de nombreuses critiques hier (7 novembre) sur la révision de la politique agricole commune (PAC) en amont d'une rare réunion entre les ministres nationaux de l'agriculture et les membres du Parlement européen.
La Commission européenne a présenté sa proposition sur le budget de l'UE pour la période 2014-2020 il y a six mois. Cette proposition ne touche presque pas au financement de la PAC fixé à 53 milliards d'euros par an.
Lorsqu'elle a mis sa proposition législative sur la table en septembre, la Commission a suggéré plusieurs changements, dont l'augmentation de la part des terres réservées à l'écologie, une rationalisation des politiques et des mesures pour équilibrer les paiements versés aux agriculteurs des nouveaux Etats membres.
Source: EurActiv
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Le cadre financier 2014-2020
La politique agricole commune après 2013
- Le Forum Carib-Cap élabore de nouveaux modèles pour la microfinance
2011-11-08 Catégorie(s) : Développement rural
Le troisième Forum de microfinance Carib-Cap se tiendra aux Bahamas la semaine prochaine et rassemblera les institutions locales de microfinance et des spécialistes internationaux pour des discussions d’un modèle des Caraïbes pour encourager la croissance économique.
Du 13 au 16 Novembre, des financiers et des syndicats de crédits adresseront le sujet « Le modèle de croissance des Caraïbes : diversification, régulation, responsabilité ». Ils aborderont entre autre la prolifération des institutions de microfinance ainsi que la bonne technologie et le rôle du secteur de microfinance dans la partie anglophone des Caraïbes qui a souffert d’un « manque de diffusion, des taux élevés de retard, la dépendance des subventions et des faibles cadres de régularisation ».
Un étude sur la demande financière dans les Caraïbes menée par le programme en 2010 a montré que malgré le développement maigre du secteur, il y avait une forte demande pour des produits de microfinance comme l’assurance, des prêts flexibles et accessibles, des épargnes ou des remises.
Source: Secrétariat ACP
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Carib-Cap
Programme de microfinance ACP-UE
- Caraïbes: Des subventions UE pour les exportateurs de nourriture
2011-11-08 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Le Caribbean Export Development Agency offre une aide financée par l'Union européenne jusqu’à 3,6 millions de dollars par requérant pour les exportateurs de produits alimentaires qui doivent aider à améliorer les normes de sécurité alimentaire.
L'argent provient du 10ème Fonds européen de développement (FED) en vertu duquel Caribbean Export, une agence de commerce régional et de promotion des investissements, est responsable de l'exécution d'un programme régional de développement du secteur privé (PRDSP).
Sonia Bowen, programmeuse au Caribbean Export à Christchurch, à Barbade, affirme que les entreprises devront dépenser en premier afin d’obtenir des fonds de l'UE, qui sont destinés à couvrir les dépenses liées à la refonte des systèmes de production et des réseaux d'approvisionnement.
« Ce n'est pas un prêt. Ce sont des subventions remboursables. Les entreprises devront d’abord dépenser avant qu'elles puissent obtenir de l'argent », a déclaré Mme Bowen vendredi. Une subvention de 5000 euros à 30 000 euros est offerte aux entreprises.
Source: Jamaica Gleaner
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Caribbean Export Development Agency
Interview du CTA avec Kayanne Anderson
- Doha: Une étude de l'UE montre d'importantes retombées économiques
2011-11-08 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Une étude publiée la semaine dernière montre que les avantages économiques découlant des négociations du Cycle de Doha à l’Organisation mondiale du commerce équivalent à une augmentation des exportations mondiales de 359 milliards de dollars sur une base annuelle à partir d'un accord sur la libéralisation des produits industriels, de l'agriculture, des services et sur la suppression de la paperasserie. Selon l’étude, si un accord sur la libéralisation sectorielle des biens industriels (produits chimiques, machines, l’électronique) pourrait être atteint, les exportations mondiales augmenteraient de 146 milliards de dollars supplémentaires, totalisant 505 milliards de dollars annuellement.
Cette analyse en temps opportun parvient à saisir la complexité des propositions de négociation actuellement sur la table à Genève au niveau le plus détaillé, offrant ainsi aux décideurs politiques une base d'analyse approfondie pour prendre une décision éclairée sur l'importance d’un accord efficace du Cycle de Doha pour l'économie mondiale.
Les principales conclusions de l'étude:
- L'accord sur la table est bien équilibré. En termes de gains économiques, toutes les régions y compris les pays en développement, émergents et industrialisés bénéficieraient d'un accord de Doha ambitieux. Cela signifierait 0,2% de croissance économique supplémentaire au niveau mondial et un supplément de 30 milliards de dollars en PIB pour l'UE sur une base annuelle.
- La suppression de la paperasserie dans le commerce, ainsi nommé la facilitation des échanges (par exemple la simplification des procédures douanières, du transport et de la logistique commerciale), est d'une importance majeure pour un accord réussi du Cycle de Doha. Presque la moitié des gains mondiaux (100 milliards de dollars dans les exportations mondiales) doivent être récoltés de cette partie de l'accord. En outre, l’allocation des gains est plus favorable aux pays en développement lorsque la facilitation des échanges est incluse.
- Un accord de Doha réussi n’aurait pas d’incidence négative sur le salaire des travailleurs de l'UE. Le salaire des ouvriers qualifiés et non qualifiés devrait même augmenter d'environ 0,3%.
- Les négociations sur les accords sectoriels pour les produits chimiques, les machines et les produits électroniques amélioreraient davantage les avantages du Cycle de Doha. Grâce à ces accords sectoriels, les exportations mondiales augmenteraient d'un montant supplémentaire de 146 milliards de dollars jusqu’à 505 milliards de dollars par an (8 milliards de dollars supplémentaires si les biens environnementaux sont inclus).
- Contrairement à une perception commune, un accord donnerait également lieu à des effets positifs sur les recettes tarifaires pour certaines régions, dont l'une est l'Afrique subsaharienne. Dans le cas de l'Afrique subsaharienne, la paperasserie réduite ferait augmenter les volumes d’échanges commerciaux, même lorsque les tarifs sont maintenus au même niveau. Un volume d’échanges commerciaux plus élevé se traduit par une augmentation des recettes tarifaires.
- La réussite du Cycle de Doha conduirait même à des gains au-delà de ceux présentés dans l'étude. Le Cycle de Doha a une valeur systémique dans la prévention des hausses tarifaires excessives. Les barrières des tarifs inférieurs ont une valeur supplémentaire dans la lutte contre le protectionnisme. La conclusion du Cycle de Doha renforce fondamentalement les règles globales et transparentes, ce qui va rendre chaque récession ultérieure moins douloureuse.
Source: Commission européenne
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Des informations supplémentaires
- Afrique australe: Un accord UDAA-Mercosur se prépare
2011-11-07 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Le ministre délégué du Commerce et de l'Industrie namibien, Tjekero Tweya, a déposé jeudi une motion au Parlement pour la ratification d'un accord commercial préférentiel (PTA) entre l'Union douanière d'Afrique australe (UDAA) et le bloc commercial d'Amérique du Sud, appelé le Marché commun du Sud (Mercosur) [...].
Mr. Tweya a déclaré que l'impasse actuelle dans les négociations commerciales de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et l'annonce récente par l'Union européenne (UE) qu'elle va fermer ses marchés aux produits namibiens, si la Namibie et d'autres pays de l’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) n'ont pas signé l'Accord de Partenariat Economique (APE) d'ici la fin de 2013, ont placé la SACU et la Namibie, en particulier, dans une position « délicate » en termes d'accès aux marchés pour leurs produits.
Il a ajouté que la mise en œuvre du PTA SACU-Mercosur donnerait à la Namibie un marché alternatif et élargirait sa part de marché.
Source: AllAfrica/The Namibian
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SACU
Mercosur
- L’UE prêt à une levée des sanctions à l’encontre de Fidji
2011-11-07 Catégorie(s) : Politique ACP-UE
L’Union européenne souhaite vivement poursuivre les pourparlers sur le développement avec le gouvernement fidjien.
Le Dr Abdoul Aziz Mbaye, nouvel ambassadeur, chef de la délégation de l’UE pour le Pacifique, basée à Suva (aux îles Fidji), a déclaré dans un entretien publié par le Fidji Sun que l’UE était prête à lever toutes les sanctions à l’encontre de Fidji à condition qu’un dialogue effectif soit amorcé entre les deux parties.
Le Dr Mbaye a indiqué que la politique européenne à l’égard des îles Fidji était régie par le protocole de Cotonou et qu’ils avaient respecté tous les accords préalablement conclus par l’ensemble des signataires.
« Nous sommes prêts à ouvrir des consultations au titre de l’article 96 de l’Accord de Cotonou si le gouvernement fidjien estime qu’ils sont suffisamment prêts à dialoguer avec nous. Nous explorons toutes les possibilités à cet égard », a déclaré le Dr Mbaye.
Le Dr Mbaye a par ailleurs présenté jeudi ses lettres de créance au président ghanéen. Il avait pris ses fonctions à la tête de la délégation une semaine auparavant.
Source: pidp.org
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Le Fidji reçoit le nouvel ambassadeur UE
Soutenir l'agriculture au Pacifique
- Oxfam prévoit la plus forte réduction de l’aide de ces 15 dernières années
2011-11-07 Catégorie(s) : Politique ACP-UE, Environnement
L’aide publique au développement (APD) accordée par les pays riches devrait baisser de 9,5 milliards de dollars d’ici à la fin 2012, soit la réduction la plus importante depuis 15 ans, estime l’organisation internationale Oxfam à quelques heures du sommet du G20, les 3 et 4 novembre, à Cannes. Pour Oxfam, de tels chiffres étaient désespérément prévisibles et montrent que ce sont bien les plus démunis à qui l’on demande de payer pour les mesures d’austérité des pays riches. L’organisation tire la sonnette d’alarme et appelle les leaders du G20 à inverser cette tendance et à décider de nouveaux moyens de lever des fonds au profit des pays pauvres touchés par la crise économique et le changement climatique. 9 milliards de dollars permettraient à plus de 35 millions d’enfants d’aller à l’école, sur les 67 millions qui ne sont pas scolarisés. La réduction des budgets d’aide frappe déjà fortement des pays très pauvres comme le Bengladesh, le Bénin ou le Mozambique, qui vont perdre la moitié de leur budget alloués à l’éducation de base. Les chiffres avancés par Oxfam sont basés sur une analyse des budgets 2010-12 actuels et prévisionnels consacrés à l’APD par les pays de l’OCDE. Le recul s’élèverait à 11,2 milliards d’euros environs, l’Italie, les États-Unis, l’Espagne et les Pays-Bas étant les principaux responsables de ces coupes. Des coupes en partie contrebalancées par le fait que les chiffres de l’aide augmentent fortement en Australie et plus faiblement en Allemagne et au Royaume-Uni - leur budget de l’aide reste constant en pourcentage du Revenu national brut. En France ou Canada en revanche, les chiffres de l’aide stagnent complètement.
Source: Oxfam
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Des résultats mitigés au G20
Oxfam
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