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Ce blog partage des informations clé sur les programmes et évènements ACP-UE à Bruxelles importants pour le développement agricole et rural des pays ACP.
Date : [DATE] Bulletin du Bureau de Liaison du CTA à Bruxelles
Principaux évènements de la semaine.
- Briefing Régional en Afrique de l’Ouest: Accès à la terre
- OGM: les ministres de l’UE s’opposent au changement de réglementation
- Les ambassadeurs du Pacifique veulent accélérer les négociations APE
- 5ème conférence internationale sur les statistiques agricoles
- L’UE devrait dépasser ses objectifs d’émissions de Kyoto
- Les ministres de l’environnement de l’UE et Cancun
- Soutien aux pays ACP exportateurs de bananes
- La HR Catherine Ashton nomme les hauts responsables du SEAE
- Conclusions du Conseil sur le Sahel
- Soudan: l'UE alloue 17 millions € pour les besoins humanitaires
- L’UE invite ses partenaires à lever les barrières protectionnistes
- La CE s'emploie à améliorer la réponse de l'UE aux catastrophes
- Les entreprises horticoles misent sur une remontée de l’euro
- Reprise du soutien direct de l’UE après plusieurs années
- Une collaboration du JRC avec la NASA concernant les terres d'Afrique
- Informations sur les technologies à faibles émissions de carbone
- L’Allemagne soutient un partenariat énergétique Afrique-UE
- L’UE demandée d’agir pour lutter contre la malnutrition dans le monde
- La CE alloue 9,5 millions € au soutien du processus électoral
- Lancement de l'observatoire ACP sur les migrations
- L’Ouganda s’apprête à signer des pactes de partenariat économique
- La BEI et la BAD financent le premier grand parc éolien d’Afrique
- L’UE invitée a fusionner les sièges au conseil exécutif du FMI
- Briefing Régional en Afrique de l’Ouest: Accès à la terre
2010-10-29 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Archives, Pêche Régionale, Environnement, Efficacité Aide, Commerce ACP-UE, Développement rural
Le Briefing sur le développement rural en Afrique de l’Ouest « Accès à la terre, acquisitions de terres et développement rural: nouveaux enjeux, nouvelles opportunités » qui se tiendra à Ouagadougou, Burkina Faso du 1 au 3 novembre 2010 examinera les liens entre le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire dans les zones rurales; La gouvernance et le financement en faveur des fonds climatiques; L’acquisition de terres à grande échelle et leur contribution au développement et la promotion des investissements agricoles internationaux responsables. Le groupe ciblé est plus de 120 décideurs de la région Afrique de l’Ouest et d’autres régions d’Afrique qui seront conviés à échanger leur expertise et expérience. Briefings régionaux ACP Programme_8.pdf
- OGM: les ministres de l’UE s’opposent au changement de réglementation
2010-10-29 Catégorie(s) : Environnement, Sécurité alimentaire
Un projet de la Commission européenne visant à autoriser les États membres à restreindre ou à autoriser unilatéralement la culture de végétaux génétiquement modifiés sur leur propre territoire s’est heurté à une opposition véhémente des poids lourds de l’UE, la France, l’Allemagne et l’Italie. « Que les choses soient claires, en France, nous refusons même d’en débattre », a déclaré la Française Chantal Jouanno pendant les discussions entre les ministres de l’environnement de l’Union européenne, qui avaient lieu au Luxembourg la semaine dernière. Le ministre allemand de l’environnement a ajouté que l’acceptation des GM État par État détruirait le marché unique. Alors que le Royaume-Uni restait silencieux sur la question et décidait de se concentrer sur d’autres objectifs politiques, les Pays-Bas, qui sont favorables aux GM, ont exprimé leur désir de faire progresser les propositions. Les Pays-Bas ont déclaré que de nouvelles règles sont nécessaires pour sortir d’une impasse qui a abouti à autoriser la culture commerciale de seulement deux végétaux GM en plus de 10 ans, alors que 10 autres attendent une autorisation. Entre-temps, une pétition en ligne lancée par Greenpeace pour s’opposer à toute culture commerciale de végétaux GM a réuni plus d’un million de signatures. Étant donné que la barre d’un million est franchie, le commissaire européen en charge de la santé, John Dalli, qui veut assouplir la position dure de l’UE à l’égard des cultures GM, est obligé de tenir compte de la pétition en vertu du Traité de Lisbonne de 2009.
Source: greenbio.checkbiotech.org En savoir plus DG de la santé et des consommateurs
- Les ambassadeurs du Pacifique veulent accélérer les négociations APE
2010-10-28 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Les ambassadeurs des pays ACP du Pacifique auprès de l’Union européenne ont souligné la nécessité d’accélérer les négociations sur un accord de partenariat économique (APE) dans la région, actuellement dans l’impasse, et veulent davantage d’engagement dans le processus. Pendant leur réunion qui s’est tenue la semaine dernière à Bruxelles, les ambassadeurs du groupe des pays ACP du Pacifique, par l’intermédiaire de leur coordinateur, l’ambassadeur de Vanuatu, S.E M. Roy Mickey Joy, ont instamment demandé au secrétariat du Forum des îles du Pacifique d’accélérer le processus. M. Joy a souligné qu’étant donné le montant et le volume des ressources que l’Union européenne a fournies au secrétariat du FIP dans le cadre du processus de négociation, par le biais du programme indicatif régional, il est surprenant de voir que peu de choses ont été réalisées en près de trois ans. Il a déclaré qu’il se peut que le secrétariat du Forum du Pacifique, qui était mandaté pour négocier pour le compte de la région, ait d’autres engagements importants à honorer. Cependant, les négociations de l’APE restent une question très importante étant donné le niveau des ressources et l’engagement que l’UE accorde à la plupart des États du Pacifique. L’ambassadeur Joy a aussi souligné qu’il est nécessaire que les ambassadeurs des ACP du Pacifique à Bruxelles et Londres soient tenus informés de l’évolution des négociations de l’APE. Il a déclaré qu’étant donné leur proximité avec l’UE et le groupe des ACP, il est vital qu’ils soient informés de la situation de l’APE.
Source: Islands Business En savoir plus Commerce UE-ACP Groupe ACP
- 5ème conférence internationale sur les statistiques agricoles
2010-10-28 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire
Dans le cadre de ses travaux visant à mieux intégrer les statistiques sur la sécurité alimentaire dans les systèmes statistiques nationaux, le Programme CE-FAO a accueilli un événement d’une journée lors de la 5ème conférence internationale sur les statistiques agricoles (ICAS V). La conférence a aussi été l’occasion de discuter de la Stratégie mondiale pour l’amélioration des statistiques agricoles et rurales, qui vient d’être adoptée.
Source: foodsec.org En savoir plus L’événement en marge de la conférence Statistiques agricoles et rurales
- L’UE devrait dépasser ses objectifs d’émissions de Kyoto
2010-10-28 Catégorie(s) : Environnement
Une importante diminution des émissions de gaz à effets de serre, due à une réduction de l'activité industrielle suite à la crise économique, permet à l'UE de se rapprocher rapidement de ses engagements pris à Kyoto, mais l'Autriche, le Danemark et l'Italie sont à la traîne d’après de nouveaux chiffres. L’UE-15 a réduit sa moyenne annuelle d’émissions de gaz à effets de serre de 253 millions de tonnes de CO2 au-delà de ce qui est nécessaire pour atteindre son objectif collectif de 8% en 2008 et 2009. C’est ce que révèle le dernier rapport d’avancement de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE), publié le 12 octobre. « Ce qui place collectivement l’UE -15 à 5,9% en dessous de l’objectif de réduction de 8% de Kyoto », a commenté l’AEE. Ce qui devrait lui donner une longueur d’avance et lui permettre « d’atteindre voire de dépasser » son objectif, a-t-elle ajouté. Cependant, le rapport fait observer que les estimations se basent sur l’hypothèse selon laquelle les pays de l’UE qui dépassent leurs objectifs seront capables de compenser les lacunes des autres. Il pointe l’Autriche, le Danemark et l’Italie, qui devront encore réduire leurs émissions dans des secteurs non couverts par le système communautaire d’échange de quotas d’émissions (SCEQE) ou en achetant plus de crédits de carbone que prévu.
En savoir plus Réductions d'émission
- Les ministres de l’environnement de l’UE et Cancun
2010-10-28 Catégorie(s) : Environnement
Pendant sa réunion du 14 octobre 2010 à Bruxelles, Belgique, le Conseil des ministres de l’environnement de l’UE a convenu d’une stratégie de négociation pour la conférence de Cancun sur le changement climatique, qui doit se tenir à la fin de l’année 2010. Dans les conclusions du Conseil, les ministres soulignent la nécessité d’une approche progressive s’appuyant sur le protocole de Kyoto et les résultats de la conférence de Copenhague sur le changement climatique et ouvrant la voie à un cadre mondial et juridiquement contraignant, intégrant l’orientation politique donnée dans l’accord de Copenhague. Les ministres constatent que pendant les sessions de Bonn et Tianjin, des progrès limités ont été accomplis pour définir les éléments d’un programme équilibré à Cancun. Ils soulignent qu’il faudra considérablement accélérer le rythme des négociations pour parvenir à un résultat positif et équilibré à Cancun. Les ministres déclarent que les décisions à adopter à Cancun devraient englober l’adaptation au changement climatique et l’atténuation de celui-ci ; la technologie ; le renforcement des capacités ; REDD+ (la réduction des émissions résultant du déboisement et de la dégradation des forêts, ainsi que le rôle de la préservation et de la gestion durable des forêts et du renforcement des stocks de carbone forestiers) ; l’agriculture ; le contrôle, le reporting et la vérification ; les mécanismes financiers basés sur le marché. Ils soulignent la nécessité d’intégrer à Cancun les engagements de tous les pays formulés ou non suite à l’Accord de Copenhague, dans le contexte de la CCNUCC, en vue de faciliter la clarification de ces engagements, de mobiliser le soutien à leur mise en œuvre et de soutenir les débats sur des options visant à renforcer le niveau collectif des ambitions en vue d’atteindre l’objectif de 2°C. Les ministres expriment également leur soutien à une décision à prendre à Cancun d’établir un registre pour commencer le captage et harmoniser les actions et le soutien.
Source: Conseil de l'Union européenne En savoir plus Conférences sur le changement climatique
- Soutien aux pays ACP exportateurs de bananes
2010-10-28 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
La 3040ème session du conseil des Affaires générales, qui s’est tenue le 25 octobre 2010 au Luxembourg, a décidé de ne pas approuver la totalité des amendements à sa position sur le financement des mesures dites d’accompagnement du secteur de la banane votées par le Parlement européen. Conformément à l’article 314 du Traité sur le fonctionnement de l’UE, un comité de conciliation sera convoqué pour convenir d’un texte commun dans les 21 jours. En adoptant sa position sur un projet d’amendement budgétaire n° 3 pour 2010, le Conseil a accepté le financement de 56,7 millions d’euros pour des mesures d’accompagnement destinées à aider les pays ACP exportateurs de bananes, frappés par les mesures de libéralisation dans le cadre de l’Organisation mondiale du commerce. De l’avis du Conseil, ce montant devrait être obtenu par des redéploiements au sein de la rubrique 4 du budget de l’UE (l’UE en tant qu’acteur mondial) et par la marge de la même rubrique. En ce qui concerne le financement d’une nouvelle tranche de 18,3 millions d’euros pour les pays ACP producteurs de bananes, le Conseil a demandé à la Commission de proposer le plus rapidement possible des redéploiements supplémentaires au sein de la rubrique 4.
Source: Conseil de l'Union européenne En savoir plus Marché de la Banane
- La HR Catherine Ashton nomme les hauts responsables du SEAE
2010-10-27
Catherine Asthon, la Haute Représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, a annoncé aujourd'hui la nomination de M. Pierre Vimont comme secrétaire général exécutif du futur Service d'action extérieure et de M. David O'Sullivan comme directeur général administratif.« J'avais promis de choisir les meilleurs candidats et les plus les brillants, et c’est ce que j’ai fait en nommant Pierre Vimont secrétaire général exécutif et David O'Sullivan directeur général administratif. Pierre est très estimé dans les milieux diplomatiques et apportera la richesse de ses connaissances et de son expertise en matière de politique étrangère. David a exercé de hautes fonctions à la Commission européenne et a de l’expérience dans la diplomatie. Dans leurs rôles respectifs, ils contribueront à créer un service diplomatique européen dont les citoyens européens pourront êtres fiers », a déclaré Catherine Ashton.
Source: Conseil de l'Union européenne En savoir plus SEAE
- Conclusions du Conseil sur le Sahel
2010-10-27
La 3041ème session du conseil des ministres des affaires étrangères, qui s’est tenue le 25 octobre au Luxembourg, a souligné que l’accroissement des menaces transfrontalières telles que le terrorisme et la criminalité organisée, associées à l'extrême pauvreté, à des conflits internes non résolus et à la faiblesse et la fragilité des États, constitue un enjeu croissant pour la stabilité de la région et pour l’Union européenne. Ces menaces touchent directement les populations locales et les États de la région, en particulier, la Mauritanie, le Mali et le Niger. Elles affectent également la sécurité des ressortissants européens. En étroite collaboration avec les États de la région, les Nations Unies, l’Union africaine et d’autres partenaires internationaux, et afin de soutenir les efforts déjà déployés par les États du Sahel, l’Union européenne, donnant suite aux travaux de la Commission et du secrétariat du Conseil pour formuler une approche holistique et intégrée, entend mobiliser de façon cohérente les différents instruments dont elle dispose pour promouvoir la sécurité, la stabilité, le développement et la bonne gouvernance dans la région sahélo-saharienne. L’UE encourage également le renforcement du dialogue et de la coopération entre les pays de la région. À cette fin, le Conseil invite la Haute Représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, en association avec la Commission, à élaborer une stratégie pour le Sahel pour le début de l'année prochaine.
Source: Conseil de l'Union européenne En savoir plus L'aide en action - Sahel
- Soudan: l'UE alloue 17 millions € pour les besoins humanitaires
2010-10-27
Aujourd'hui, la Commission européenne a décidé d'accorder une aide supplémentaire de 17 millions € pour soutenir le prépositionnement de produits humanitaires essentiels au Darfour, dans le sud du pays et les zones transitoires avant la tenue du référendum sur l'autodétermination du Sud‑Soudan qui devrait se tenir en janvier 2011. Cette nouvelle décision porte l'aide de la Commission à 131 millions € afin de répondre aux besoins humanitaires au Soudan. La commissaire, Mme Georgieva, a déclaré à ce propos: «Dans plusieurs parties du Soudan, les besoins humanitaires sont considérables. Nous devons renforcer notre réponse afin d'éviter l'effondrement imminent des programmes d'aide alimentaire. Nous devons également soutenir nos partenaires afin qu'ils se préparent pour éviter toute nouvelle détérioration de la situation humanitaire en raison de la violence qui pourrait entourer les référendums de 2011.» Cette aide supplémentaire vise essentiellement à soutenir les principaux canaux d'acheminement de produits humanitaires tels que denrées alimentaires, articles non alimentaires, substances nutritionnelles, trousses médicales, semences et outils, qui doivent être achetés et acheminés afin d'être distribués à temps aux personnes nécessiteuses. Les référendums sur l'autodétermination du Sud-Soudan et de la région d’Abyei, qui doivent se tenir en janvier 2011, peuvent causer des troubles et d'éventuels déplacements auxquels la communauté humanitaire se prépare.
Source: Commission européene En savoir plus Aide humanitaire & Protection civile
- L’UE invite ses partenaires à lever les barrières protectionnistes
2010-10-27 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Selon un nouveau rapport publié aujourd’hui par la Commission européenne, les principaux partenaires commerciaux de l’Union européenne ont mis en place plus de 330 mesures de restriction des échanges depuis le début de la crise financière et économique en 2008. Malgré la reprise économique et contrairement aux engagements du G20, à peine 10 % de ces mesures ont été supprimées entre-temps. À l’approche du sommet du G20 à Séoul, la Commission européenne invite ses partenaires commerciaux à lever les restrictions restantes afin de ne pas freiner la relance. Karel De Gucht, commissaire européen au commerce, a déclaré: «La reprise économique étant encore fragile, les grandes économies mondiales doivent lever les mesures de restriction des échanges qui entravent la croissance. Nous devons supprimer ces obstacles, afin que l’économie mondiale se redresse. Le G20 devra endosser un rôle de chef de file sur cette question lors du sommet de Séoul.» Le dernier rapport est le septième d’une série de comptes rendus élaborés par la Commission européenne sur les mesures de restriction des échanges que les principaux partenaires commerciaux ont adoptées depuis le début de la crise économique en 2008. Le mécanisme de suivi a été un outil important pour assurer une vigilance pendant la crise et empêcher une aggravation du protectionnisme commercial. Le rapport porte sur trente partenaires commerciaux de l’UE et couvre la période de deux ans comprise entre octobre 2008 et septembre 2010. Les mesures décrites vont des barrières commerciales classiques, telles que les interdictions d’importation ou l’augmentation des droits de douane, aux politiques incitant à acheter les produits nationaux et autres politiques appliquées derrière les frontières. Le rapport indique que nombre de nouveaux obstacles deviennent rapidement des caractéristiques pérennes du système commercial mondial et qu’ils risquent d’entraver la reprise économique.
Source: Commission européenne En savoir plus Lire le rapport Information sur l'accès aux marchés
- La CE s'emploie à améliorer la réponse de l'UE aux catastrophes
2010-10-27
C'est aujourd'hui qu'ont été prises des mesures pour améliorer, dynamiser et rendre plus efficiente la réaction de l'UE aux catastrophes : la Commission européenne a en effet adopté une nouvelle communication visant à renforcer la capacité de l'Union dans ce domaine, tant au niveau de la protection civile que de l'aide humanitaire. Cette nouvelle stratégie s'articule autour de deux axes : d'abord, par le renforcement de la capacité de réaction de l'UE et des ressources existantes des États membres en matière d'urgence et ensuite par la créaction d'un centre européen de réaction d'urgence, qui est une nouvelle plateforme destinée à partager les informations et à renforcer la coordination de l'UE lors de catastrophes. Kristalina Georgieva, commissaire européen en charge de la coopération internationale, de l'aide humanitaire et de la réaction aux crises, a déclaré: «Le nombre de catastrophes a été multiplié par cinq dans le monde depuis 1975. Lorsqu'une catastrophe se déclenche, chaque heure qui passe compte de sorte que l'Union européenne a besoin d'un système qui garantisse que les ressources clés soient disponibles pour être immédiatement mobilisées sans devoir investir dans des structures nouvelles et coûteuses. Notre stratégie de réponse doit être planifiée avec efficience mais aussi à moindre coût. Sans attendre la prochaine catastrophe majeure, nous devons prendre des mesures.» Les propositions déposées aujourd'hui visent à renforcer davantage la coordination de la réaction de l'Union européenne aux catastrophes, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de ses frontières. Dans un souci d'efficience et de cohérence, la communication propose la création d'une capacité de réaction européenne. Elle envisage la mise en commun volontaire des ressources d'urgence préengagées des États membres et la mise sur pied de plans d'urgence. Elle envisage aussi la création d'un réel centre européen de réaction d'urgence, qui résultera de la fusion des centres de crise de l'aide humanitaire (ECHO) et de la protection civile (MIC). Opérationnel 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, ce nouveau centre mettra le savoir-faire en commun et recueillera des informations en temps réel dans les deux domaines. Il suivra les situations de risque, émettra des bulletins d'alerte précoce et coordonnera la réaction civile de l'UE aux catastrophes. Fondée sur la coordination des informations et des ressources, la stratégie de réaction aux catastrophes ne crée aucune structure faîtière. En effet, il s'agit d'éviter les doubles emplois et de maximiser l'efficacité des coûts. Le renforcement de la coordination renforcera aussi la contribution de l'Union aux efforts déployés dans le cadre des Nations unies, notamment grâce à une améliioration de l'évaluation des besoins. La stratégie traite aussi du besoin d'augmenter la visibilité de l'action de l'UE lors de ses opérations de réaction aux catastrophes. Des mesures appropriées sont proposées: il s'agit d'utiliser les symboles de l'UE le cas échéant et de s'assurer que les partenaires humanitaires de la Commission donnent une visibilité adéquate à l'aide financée par l'UE. Le renforcement de la visibilité de l'action humanitaire de l'UE conférera plus de transparence à ses résultats – tant pour les citoyens de l'UE que pour les bénéficiaires de l'aide dans le monde. Jusqu'à présent, l'Union européenne disposait de deux instruments pour assurer une réponse rapide et efficace aux catastrophes: l'aide humanitaire et la protection civile. Dans le traité de Lisbone, ces deux volets bénéficient d'une nouvelle base juridique et la communication qui sera adoptée ajourd'hui est une étape supplémentaire dans la voie du renforcement de la réaction de l'Union aux catastrophes dans le droit fil du traité aussi bien que des appels répétés qui ont été lancés pour améliorer sa réaction aux catastrophes.
Source: Commission européenne
En savoir plus Aide humanitaire & Protection civile
- Les entreprises horticoles misent sur une remontée de l’euro
2010-10-26 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Le durcissement de l’euro par rapport au dollar américain a redonné de l’espoir aux exportateurs de fleurs coupées qui se préparaient à voir leurs revenus baisser suite à une diminution des volumes transportés par avion. Une remontée de l’euro combinée à un shilling faible laisse entrevoir des bénéfices considérables aux exportateurs. « Nous espérons récupérer nos pertes étant donné que l’année a été très dure pour nous », a déclaré Mme Jane Ngige, directrice générale du Conseil horticole kenyan. Le dollar a plongé d’un pic de 1.294 par rapport à l’euro ces deux derniers mois à un niveau de 1.398. Le shilling s’échange à 112 contre l’euro, le niveau le plus bas depuis 2004. Les exportations ont chuté Cela signifie que les exportateurs recevront plus de shillings pour leurs produits payés en euros, même si les bénéfices sont convertis en dollars. « L’euro a augmenté par rapport au dollar sur la supposition que le gouvernement américain déprécierait sa monnaie en augmentant les achats de la dette du gouvernement », a informé le Bloomberg. Plus de 80 pour cent des exportations horticoles sont vendus sur les marchés européens et payés en euros.
Source: Allafrica En savoir plus Kenya Flower Council Exportateurs horticoles ACP
- Reprise du soutien direct de l’UE après plusieurs années
2010-10-26 Catégorie(s) : Efficacité Aide
L’Union européenne a lancé des transactions économiques bilatérales directes avec le gouvernement et mis un terme à ses réseaux bureaucratiques en fournissant 20 millions de dollars de soutien budgétaire direct, ce qui redonne au pays le pouvoir qu’il avait avant la guerre de gérer les dotations financières du Fonds européen destinées aux pays en développement. Contrairement à ce qui se passait précédemment, lorsque les dotations pour le Liberia étaient examinées et gérées par la délégation de l’UE à Abidjan (Côte d’Ivoire) et par l’Allemagne, le Liberia peut désormais s’adresser directement sur place à la délégation de l’UE pour ce qui concerne les débours de sa dotation dans le fonds. C’est pourquoi l’accord de 20 millions de dollars est un soutien budgétaire direct et non plus un programme, comme ce fut le cas pendant les longues années de guerre civile au Liberia. « Nous sommes désormais responsables de la coordination du programme, et du contrôle régulier et de l’évaluation de tous les programmes soutenus par l’UE au Liberia », a déclaré le ministre Amara Konneh après avoir signé mercredi l’accord de subvention pour le compte du gouvernement du Libéria. Le chef de la délégation européenne, M. Attoilio Pacific, qui a signé l’accord, a déclaré que le soutien de l’Union européenne au Liberia « restera inconditionnel pour ce qui concerne l’aide humanitaire et le développement ». La présidente Ellen Johnson était présente à cette occasion et a remercié l’UE pour la subvention.
Source: Allafrica
En savoir plus Relations UE-Libéria
- Une collaboration du JRC avec la NASA concernant les terres d'Afrique
2010-10-26 Catégorie(s) : Environnement
Un partenariat unique entre la NASA et des organisations en Afrique et en Europe, dont l’Institut pour l’environnement et le développement durable (IES) du JRC, a transmis plus de 30 terabytes de données gratuites sur les sciences de la Terre à des chercheurs sud-africains dans le but de soutenir des applications sur le développement durable et l’environnement en Afrique. Le partenariat a débuté au printemps 2008, lorsque le JRC-IES a participé à une campagne d’étude intensive de l’environnement autour du parc national Kruger, organisée par le Conseil d’Afrique du Sud pour la recherche scientifique et industrielle (CSIR). Les chercheurs ont étudié la région en ayant recours à des mesures directes, aéroportées et spatiales.
Source: Commission européenne En savoir plus IES
- Informations sur les technologies à faibles émissions de carbone
2010-10-26 Catégorie(s) : Environnement
Une nouvelle version du site Internet du SETIS a été mise en ligne. Elle est mieux structurée et permet d’accéder plus facilement aux informations sur les technologies à faibles émissions de carbone. Le SETIS (système d'information sur les technologies énergétiques) est géré par l’Institut de l’énergie du JRC et soutient le plan stratégique pour les technologies énergétiques (SET-Plan) de la Commission. Parmi les nouvelles fonctionnalités, citons une boîte à outils permettant d’accéder aisément aux outils interactifs du SETIS, comme une calculatrice des coûts d’énergie et un ‘diagramme à bulles’ sur des scénarios énergétiques potentiels. Aujourd’hui, le site intègre aussi l’ensemble des articles disponibles sur une technologie particulière et les présente sur une seule page. BIOMAP, une autre fonctionnalité qui vient d’être intégrée, fournit des informations uniques sur des projets industriels financés par l’UE et sur différents aspects des technologies des biocarburants et des matières premières, y compris la législation, la qualité, les caractéristiques et les principales parties prenantes.
Source: Commission européenne En savoir plus Changement Climatique
- L’Allemagne soutient un partenariat énergétique Afrique-UE
2010-10-26
Plus de 300 décideurs politiques d’Afrique et d’Europe se sont rencontrés le 14 septembre 2010 à Vienne pour la première rencontre de haut niveau du partenariat énergétique Afrique-UE. Le secrétaire d’État et parlementaire Gudrun Kopp, qui représentait l’Allemagne à la conférence, a souligné que « le développement n’est possible qu’avec l’énergie. C’est pourquoi l’Allemagne soutient le partenariat depuis le tout début et en est l’un des moteurs. » L’objectif du partenariat énergétique Afrique-UE est de créer des services énergétiques modernes et durables auxquels 100 millions d’Africains supplémentaires pourront accéder d’ici 2020. Les conclusions de la conférence seront intégrées dans le plan d’action du sommet UE-Afrique qui doit se tenir en Libye à la fin du mois de novembre 2010.
Source: Ministère allemand de la coopération au développement En savoir plus Partenariat énergétique Afrique-UE
- L’UE demandée d’agir pour lutter contre la malnutrition dans le monde
2010-10-26 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire
L’ancien commissaire européen Mario Monti a demandé des mesures urgentes pour combattre l’augmentation du nombre de victimes de la malnutrition. Prenant la parole lors d’une conférence qui se tenait mardi au parlement, l’Italien a déclaré qu’un milliard de personnes dans le monde sont sous-alimentées et que quelque 36 millions de décès sont dus chaque année à la malnutrition. M. Monti a insisté sur ce qu’il appelle le paradoxe des personnes gravement sous-alimentées dans certaines régions du monde et l’obésité croissante dans d’autres. Il a déclaré que cela constitue « un déséquilibre très dangereux ». L’ancien commissaire chargé de la politique de la concurrence a demandé instamment à l’UE d’élaborer des « politiques plus efficaces » pour s’attaquer au problème. À propos des implications économiques et sociales de l’alimentation et de la nutrition, M. Monti a déclaré : « Les problèmes liés à l’alimentation et à la nutrition prennent de plus en plus d’importance en termes d’impact sur l’économie et la société ». La conférence était organisée pour débattre de la manière de promouvoir une alimentation saine et un meilleur régime alimentaire et de réduire l’impact de la production alimentaire sur l’environnement. D’après une étude scientifique présentée lors de la conférence par le centre Barilla pour l’alimentation et la nutrition (BCFN), un régime sain est aussi bénéfique pour l’environnement. L’étude intitulée ‘La double pyramide : une alimentation saine pour les gens, une alimentation durable pour la planète’ révèle que les produits alimentaires dont la consommation est fortement recommandée sont aussi ceux qui ont le moins d’impact sur l’environnement. En revanche, les aliments pour lesquels on recommande de limiter la consommation sont aussi ceux qui ont le plus d’impact sur l’environnement.
Source: The Parliament En savoir plus Politique et la gestion de l'aide alimentaire Facilité alimentaire UE
- La CE alloue 9,5 millions € au soutien du processus électoral
2010-10-25
Le 25 octobre, la Commission a adopté la décision de soutenir financièrement le processus électoral 2011 en République centrafricaine qui contribuera à consolider le processus de paix dans le pays. Les élections présidentielles et législatives se dérouleront le 23 janvier et le 20 mars. M. Andris Piebalgs, commissaire européen chargé du développement, s'est exprimé en ces termes: «J'appuie sans réserve toute initiative visant à renforcer la démocratie, en Afrique et ailleurs. L'aide apportée par l'Union européenne au processus électoral permettra à la République centrafricaine de tenir les engagements qu'elle a pris en faveur de la consolidation de la démocratie. Des élections présidentielles et législatives bien préparées, libres et crédibles sont une condition essentielle au processus de paix dans ce pays.» La Commission européenne se réjouit de la signature, par la commission électorale indépendante, d'un accord portant sur le calendrier et encourage l'ensemble des signataires à poursuivre les préparatifs dans un esprit consensuel. Il s'agira des deuxièmes élections libres et démocratiques en République centrafricaine depuis le rétablissement de l'ordre constitutionnel en 2005. L'aide sera financée dans le cadre du 10e Fonds européen de développement (FED), principal instrument de financement de l'aide au développement dont dispose l'UE, au titre duquel une contribution de 4 millions € avait été initialement allouée. La décision de l'UE de porter ses contributions à 9,5 millions € au total témoigne de la fermeté de son engagement de renforcer la démocratie en République centrafricaine et fera de la Commission européenne le premier bailleur de fonds en faveur du processus électoral dans ce pays.
Source: Commission européenne En savoir plus Relations de l'UE avec la République centrafricaine Facilité pour la paix en Afrique
- Lancement de l'observatoire ACP sur les migrations
2010-10-25 Catégorie(s) : Archives
Le 25 octobre 2010, l'observatoire Afrique, Caraïbes, Pacifique sur les migrations sera officiellement lancé à l'occasion d'une cérémonie (spéciale) qui se tiendra à Bruxelles en présence de M. Andris Piebalgs, commissaire chargé du développement. La Commission européenne et les États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) ont œuvré ensemble à la création de l'observatoire ACP sur les migrations. Ce nouvel organisme fournira des données et des informations fiables sur les flux migratoires dans les États ACP. L'objectif est de concevoir des politiques mieux adaptées en vue d'améliorer la contribution des migrations au développement. L'observatoire couvrira les six régions ACP et sera mis en place dans douze pays pilotes: l'Angola, le Cameroun, la République démocratique du Congo, Haïti, le Kenya, le Lesotho, le Nigeria, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Sénégal, la Tanzanie, le Timor-Oriental et Trinidad et Tobago.
Source: Commission européenne En savoir plus Observatoire ACP sur les migrations Andris Piebalgs
- L’Ouganda s’apprête à signer des pactes de partenariat économique
2010-10-25
Deux ans après que les cinq États d’Afrique de l’Est et l’Union européenne (UE) aient paraphé le texte de l’accord-cadre de partenariat économique entre la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) et l’UE, la région n’a pas encore signé le document. Mais motivé par un espace de marché de près de 130 millions de consommateurs qui devrait favoriser l’expansion des opportunités du marché commun, et malgré les mises en garde des organisations de la société civile demandant aux États de la CAE de réfléchir et de ne pas précipiter la signature d’un APE complet, l’Ouganda semble s’être décidé à le signer. Pendant une journée de dialogue consacrée à l’APE et à ses opportunités pour la CAE, organisée récemment à Kampala par le ministère du tourisme, du commerce et de l’industrie avec le soutien du secteur privé, le ministre d’État ougandais en charge du commerce, Nelson Gagawala, a réaffirmé la position du pays et déclaré que l’Ouganda signera l’APE. Le marché commun de la CAE a été lancé le 1er juillet 2010 suite à la signature en novembre 2009 du protocole l’établissant. Le marché est important pour l’Ouganda et ses homologues de la CAE parce qu’il consolide les liens économiques, sociaux et politiques et qu’il crée d’immenses opportunités. Le secrétariat de la CAE a convoqué une réunion ministérielle commune CAE-CE-APE qui s’est tenue à Dar es Salaam du 7 au 9 juin 2010 pour permettre aux deux parties de signer l’accord-cadre de partenariat économique. Cependant, celui-ci n’a pas été signé et les parties ont convenu de négocier les questions en suspens dans l’APE provisoire en novembre 2010, en même temps que l’APE complet. « La réalité aujourd’hui est que l’Union européenne (UE) et la CAE n’ont même pas convenu d’un calendrier pour la suite des négociations qui permettrait de respecter l’échéance de novembre 2010 », lit-on dans une déclaration de l’institut SEATINI (Southern and Eastern African Trade Information and Negotiations Institute). Cette situation générerait de l’incertitude au sein de l’UE quant à la manière de stimuler les négociations de l’APE. En savoir plus UE & Ouganda Communauté de l'Afrique de l'Est
- La BEI et la BAD financent le premier grand parc éolien d’Afrique
2010-10-25 Catégorie(s) : Environnement
La Banque européenne d’investissement et la Banque africaine de développement ont convenu aujourd’hui d’accorder 45 millions d’euros pour la conception, la construction et l’exploitation de parcs éoliens terrestres sur quatre îles de l’archipel du Cap-Vert. Il s’agira du premier grand projet éolien en Afrique et du premier partenariat public-privé soutenant les énergies renouvelables en Afrique sub-saharienne. Le projet apportera une capacité de production électrique de plus de 28 MW et aidera l’île à atteindre son objectif ambitieux de 25% des besoins locaux en électricité produite à partir de sources d’énergie renouvelables d’ici 2012, et de 50 % d’ici 2020. Le projet est mis en œuvre par InfraCo dans le cadre d’un partenariat public-privé entre le gouvernement du Cap-Vert et la compagnie d’électricité locale Electra. Le projet est basé sur une technologie moderne de production d’électricité, développée par Vestas, qui vise à faire de l’énergie éolienne le premier substitut du fioul ou du diesel. En plus de réduire fortement les émissions de gaz à effet de serre, le projet permettra d’améliorer l’accès à l’électricité au Cap-Vert, réduira les importations de combustibles payées en devises étrangères et contribuera à faire de l’énergie éolienne une source fiable d’énergie renouvelable et non polluante sur ces îles. Pour soutenir ce projet, dont le coût s’élève à 65 millions d’euros, la Banque européenne d’investissement prêtera 30 millions d’euros et la Banque africaine de développement 15 millions d’euros. Le projet est conforme à la stratégie 2008-2013 établie par l’Union européenne pour le Cap-Vert.
Source: EU@UN En savoir plus Banque européenne d'investissement Banque Africaine de Développement
- L’UE invitée a fusionner les sièges au conseil exécutif du FMI
2010-10-25
Les pays européens devraient regrouper leur quote-part dans le Fonds monétaire international et ne plus occuper qu’un seul siège au conseil exécutif de l’organe international, suggère un expert s’exprimant dans le cadre du débat croissant sur la « surreprésentation » de l’Europe au FMI. Daniel Gros, qui dirige le Centre d’études de la politique européenne établi en Belgique, affirme qu’un seul siège au conseil exécutif du FMI augmenterait l’influence de la zone euro. « Le représentant de la zone euro aurait énormément d’influence parce qu’il représenterait une quote-part plus importante que celle des USA. De ce fait, la dominance de facto du Trésor américain au FMI appartiendrait au passé », explique M. Gros. Il ajoute que le représentant de la zone euro serait désigné par les ministres des finances de l’Union européenne.M. Gros reconnaît que les pays européens ne seraient pas nécessairement favorables à sa proposition. Les membres de l’Union européenne n’ont guère intérêt à transférer leurs compétences et leurs positions internationales au niveau de l’UE, fait-il observer. Face à la pression internationale, les ministres des finances de l’UE ont accepté d’alterner deux sièges au conseil exécutif du FMI,contrôlés par des Européens avec des pays en développement. Cependant, leur offre ne va pas jusqu’à abandonner certains de leurs droits de vote pour permettre à des économies émergentes de faire davantage entendre leur voix dans le Fonds. Gros fait observer : « Les dirigeants de l’Europe ne se lassent jamais de rappeler à leurs électeurs que les grands marchés émergents bouleversent l’ordre économique mondial existant, mais lorsqu’il s’agit de reconnaître cette réalité au sein des institutions financières internationales, c’est une autre chanson ».
Source: Devex.com En savoir plus FMI
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