La Commission a alloué une enveloppe supplémentaire de 50 millions d'euros pour la région du Sahel et de 8 millions d'euros pour la République centrafricaine afin de faire face à l'augmentation des besoins alimentaires, nutritionnels et d'urgence dans les pays concernés. Pour 2018, le total de l'aide humanitaire de l'UE en faveur des pays du Sahel s'élève à présent à 270 millions d'euros, et à 25,4 millions d'euros pour la République centrafricaine.
Forum de haut niveau Afrique‑Europe: «Conduire la coopération à l'ère du numérique» Le président de la République du Rwanda, Paul Kagame, qui est actuellement le président de l'Union africaine, et Sebastian Kurz, le chancelier fédéral de la république d'Autriche qui tient actuellement la présidence tournante du Conseil de l'UE, invitent cordialement les chefs d'État ou de gouvernement africains et européens, des dirigeants d'entreprises internationales importantes ainsi que des entrepreneurs innovants et des parties prenantes au Forum de haut niveau Afrique‑Europe.
Le portefeuille du Fonds fiduciaire UE-Afrique (FFUEAI) est composé de 86 projets d’infrastructure. Ceux-ci sont soutenus par 119 subventions représentant un montant total net de 733,9 millions d’EUR2 . Depuis 2007, la progression des subventions est continue, d’abord au titre de l’enveloppe régionale initiale puis, de manière croissante, de l’enveloppe SE4ALL, mise en place en 2013.
Quelques mois après avoir été la première région à signer une convention de partenariat avec l'association de Jean-Louis Borloo, Énergies pour l'Afrique, les Hauts-de-France poursuivent leur engagement en faveur du Continent avec un Forum Régional des acteurs de l'énergie.
« Initiation à l’Agriculture Contractuelle comme modèle d’affaire inclusif ». C’est sous ce thème que le Projet Centres d’Innovations Vertes du secteur agro-alimentaire (ProCIV) de la Coopération Allemande GIZ et l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique (AGRA) ont organisé du 8 au 12 octobre 2018 à Ouagadougou une formation à l’endroit des acteurs intervenants dans les Chaînes de Valeur Ajoutée (CVA) agricoles.
La Commission européenne a présenté aujourd'hui son programme de travail pour 2019, dans lequel elle a exposé trois grandes priorités pour l'année à venir: parvenir rapidement à un accord sur les propositions législatives déjà présentées pour concrétiser ses dix priorités politiques; adopter un nombre limité de nouvelles initiatives visant à remédier à des problèmes en suspens; et présenter plusieurs initiatives dans la perspective d'une Union à 27 qui renforceront les fondements d'une Europe forte, unie et souveraine.
L'Agence française de développement a annoncé le lancement d'un programme pour accroître les financements climat des institutions financières locales de 17 pays essentiellement africains. Lancé en partenariat avec le Fonds Vert pour le Climat, le programme est doté de 750 millions USD (660 millions d'euros). L'Agence française de développement (AFD) dont l'objectif est désormais d'être « 100% Accord de Paris », poursuit ses efforts pour appuyer la mise en œuvre de cet instrument dans les pays en développement.
Federica Mogherini, la haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, a participé à la session plénière du Comité économique et social européen (CESE) du 17 octobre 2018, où elle a engagé un débat avec ses membres sur les principaux défis et menaces extérieurs auxquels l'UE est confrontée. M. Luca Jahier, président du CESE, a souligné le rôle important joué par l'UE en tant que principal bailleur d'aide humanitaire, mais a également rappelé que « les organisations de la société civile tiennent à se joindre à cet effort ».
Pour la première fois depuis 2012, les dépenses d'aide de l'UE ont diminué en 2017. En d’autres termes, si ces dépenses se maintiennent au niveau actuel, il faudra à l’UE 40 années supplémentaires pour que la part de l’APD dans le RNB de l’UE atteigne 0,7 %, conformément à l’objectif fixé et aux engagements pris. Le rapport AidWatch 2018 de CONCORD épingle aussi d’autres problèmes.
Le discours contemporain sur la migration est devenu émotionnel et dépourvu de rationalité. Il laisse croire dans les pays vieillissants que les mouvements de population à travers le monde auront un effet négatif sur eux. Le coût financier de la réception des migrants et de leur intégration est parmi les arguments souvent avancés pour justifier des politiques visant à limiter les flux migratoires– y compris la migration légale.