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Politique alimentaire
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 Invité: Vincent Martin, FAO Sénégal

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Le Bureau du CTA à Bruxelles produit des actualités sur la coopération au développement ACP-UE. Abonnez-vous au Bulletin hebdomadaire.
Vendredi, 12 août 2016

Avec des ventes de produits laitiers qui se sont élevées à 25 milliards de dollars en 2015, Nestlé, la multinationale suisse basée à Vevey, conserve la première place du classement annuel des vingt plus grandes entreprises laitières dans le monde, établi par Rabobank. Les deux géants français du secteur, Lactalis et Danone, trustent respectivement la deuxième et la troisième place. Ce classement brosse le tableau d'une industrie en pleine mutation. Les compagnies laitières s'échinent, d'une part, à conserver leur rentabilité malgré une tendance à la baisse des prix des denrées alimentaires. Par ailleurs, elles tendent à se désengager du marché chinois et se concentrent davantage sur les pays émergents, notamment en Afrique, terrain de chasse encore relativement vierge.

Vendredi, 22 juillet 2016

En Afrique du Sud, l'industrie fruitière poursuit son expansion. Le secteur, qui génère quelques 30 milliards de rands par an, a signé un mémorandum d'entente avec l'Associazione Italiana Commercio Estero (AICE). Cet accord, qui a été conclu par Fruit SA, l'organisme représentant le secteur, permettra de relier les producteurs sud-africains aux importateurs italiens. Pour l'Afrique du Sud, qui ne consomme que 13% d'une production fruitière évaluée à 4,7 millions de tonnes, s'ouvrir sur de nouveaux marchés est désormais un impératif.

Vendredi, 15 juillet 2016

Le ministre de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du territoire (MINEPAT) Louis Paul Motaze, au nom de l'Etat du Cameroun et Danny Feremans pour la banque belge BELFIUS A., ont procédé à Kribi, à la signature de la convention de financement de la première phase du projet d'approvisionnement en eau potable du Complexe industrialo-portuaire de Kribi (CIPK).Cette convention d'un montant de 30 milliards de F est un prêt garanti par l'Etat belge. Il a été consenti à un taux concessionnel et sera remboursé sur une période de 12 ans.

L'Union européenne (UE) a annoncé ce 13 juin dans un communiqué la signature d'une convention de financement de 3,6 milliards F CFA visant à « améliorer les conditions environnementales des productions et la qualité de vie des travailleurs, mais aussi à développer le marché local et sous régional de la banane ». Il s'agit concrètement de réaliser des investissements destinés à l'amélioration du cadre de vie et des conditions de travail des ouvriers agricoles de la filière banane dessert d'une part, et d'autre part à une meilleure gestion de l'empreinte écologique des plantations industrielles.

Mercredi, 29 juin 2016

La Compagnie agricole de Saint-Louis du Sénégal (CASL) bénéficiera d'un prêt de € 15,7 millions de la Banque africaine de développement (BAD), à travers son guichet du secteur privé, conjointement avec la Banque européenne d'investissement (BEI), annonce aujourd'hui la banque. Il bénéficiera à un projet intégré de production de riz dans la vallée du fleuve Sénégal. Rappelons que le Sénégal a un des niveaux de consommation de riz les plus importants au monde. Le projet vise à accroître la production de riz blanc pour le marché local, en exploitant 4 000 hectares (ha) dans le delta du fleuve Sénégal afin de produire 60 000 tonnes (t) par an de riz paddy grâce à une riziculture irriguée.

Le Briefing de Bruxelles sur le Développement, sur le thème « Promouvoir l’approvisionnement responsable et durable par le biais du commerce équitable », a bien passé le mercredi 22 juin 2016 (9h00-13h00) au sein du Secrétariat ACP. Ce Briefing de Bruxelles était organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DEVCO), le secrétariat ACP, la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord) et le Fair Trade Advocacy Office. Nous remercions les 120 personnes qui sont venues à l'événement et tous ceux qui nous ont suivis en ligne. Les photos et présentations sont disponibles sur le BB 44 page web, ici: https://bruxellesbriefings.net/briefings-precedents/44-lapprovisionnement-responsable/

Lundi, 20 juin 2016

Le prochain Briefing de Bruxelles sur le Développement, sur le thème « Promouvoir l’approvisionnement responsable et durable par le biais du commerce équitable », se tiendra le mercredi 22 juin 2016 (9h00-13h00) au sein du Secrétariat ACP. Ce Briefing de Bruxelles est organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DEVCO), le secrétariat ACP, la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord) et le Fair Trade Advocacy Office.

Vendredi, 10 juin 2016

Des inquiétudes sur une initiative multinationale pour relancer l'agriculture africaine ont été exprimées mardi au Parlement européen (PE). Réunis à Strasbourg, les eurodéputés ont dit que les projets sous la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition en Afrique (NASAN) , une initiative du G8 soutenue par l'Union européenne (UE) pour développer l'agriculture en partenariat avec les entreprises locales, doivent inclure des mesures de protection de l'environnement et des garanties contre l'accaparement des terres. Lancée en 2012, la NASAN vise à développer le soutien financier des pays donateurs et aider les grandes entreprises à investir dans l'agriculture africaine. En retour, il est attendu des dix Etats africains participants - Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Éthiopie, Ghana, Malawi, Mozambique, Nigeria, Sénégal et Tanzanie - de modifier leur législation sur les terres, les semences et les investissements étrangers. En faveur d'une résolution non-législative par 577 voix contre 24, avec 69 abstentions, le PE a souligné que certaines caractéristiques de la NASAN pourraient constituer une menace pour l'environnement et les droits des agriculteurs africains.

Source: french.cri.cn

Mardi, 07 juin 2016

Au Kenya, un projet de loi de l’Union européenne (UE) visant la production d’organismes génétiquement modifiés (OGM) passe mal. Le texte, qui recommande aux membres du G8 de ne pas soutenir la recherche sur les OGM et leur production en Afrique, s’est attiré l’ire des parlementaires kenyans. Ces derniers voient de mauvaises intentions cachées derrière ce texte proposé dans le cadre de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle (NAFSN). «Il semble que ce texte a été conçu à dessein pour maintenir l’Afrique dans une agriculture de subsistance », a affirmé John Serut (photo), membre de la commission agricole du parlement kényan. Le projet, a été conçu par la commission sur le développement du parlement européen qui estime que la technologie génétique n’est pas bonne pour l’Afrique.

Source: agenceecofin.com

L’exécutif européen a demandé aux Etats membres 3,6 milliards d’euros supplémentaires pour lancer un plan d’investissement dans les pays d’origine des réfugiés africains, afin de contrôler la crise migratoire. Si les dirigeants européens acceptent de débourser cette somme, celle-ci s’ajoutera aux 3,6 milliards d’euros du budget de l’UE, de l’argent déjà promis par les gouvernements nationaux à Bruxelles. La grande majorité de la somme – 6,2 milliards d’euros – sera utilisée en tant que garantie de risques pour encourager les investissements privés dans des entreprises dans les pays en développement. L’idée s’inspire du plan d’investissement de la Commission Juncker, qui réserve quant à lui 21 milliards d’euros pour débloquer les investissements en Europe. Selon la Commission, les 6,2 milliards d’euros pourraient lever jusqu’à 62 milliards d’euros d’investissement dans des pays comme le Liban, la Jordanie, le Niger, le Sénégal, le Nigéria, le Mali, l’Éthiopie, la Tunisie et la Libye. La somme initiale serait donc multipliée par dix, alors que le Plan Juncker prévoit quant à lui de multiplier par 15 le montant initial pour créer 315 milliards d’investissements sur trois ans.

Source: euractiv.fr

Développement agricole et rural

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