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Ce blog partage des informations clé sur les programmes et évènements ACP-UE à Bruxelles importants pour le développement agricole et rural des pays ACP.
Date : [DATE] Bulletin du Bureau de Liaison du CTA à Bruxelles
Principaux évènements de la semaine.
- Financement de l'agriculture
- Accès à la terre, acquisitions de terres et développement rural
- Pourquoi améliorer la mobilisation des ressources nationales en Afrique?
- Fiscalité et développement en Afrique
- Augmentation de la production et de la consommation d’éthanol dans l'UE
- L’UE fait marche arrière sur l’APE
- L’UE autorise l’importation de nouvelles variétés de blé biotechnologique
- Des inquiétudes à propos du programme des cultures GM de l’Europe
- Le Malawi maintient sa position sur les conditions de signature de l’APE
- La CE demande une aide humanitaire supplémentaire pour le Sahel
- L’UE investit 20 millions d’euros dans le programme COMRAP
- Le Royaume-Uni promet 15,5 millions de £ pour une nouvelle recherche
- Le Malawi reste sur sa position et dit 'non' aux APE
- Une plus grande participation de l’Afrique au commerce mondial
- Publication des appels à propositions FP7 2011
- Coopération scientifique entre l’Amérique latine, les Caraïbes et l'UE
- Hausse du prix des céréales déclenchée par la chaleur en Europe
- Commerce des espèces menacées d’extinction
- Service européen pour l’action extérieure
- La Commission va financer plus de 200 nouveaux projets LIFE+
- Financement de l'agriculture
2010-08-06 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Archives, Pêche Régionale, Environnement, Efficacité Aide, Commerce ACP-UE, Développement rural
Le 20ème Briefing de Bruxelles sur le développement aura pour thème: le Financement de l'agriculture et aura lieu le 15 septembre (8h30-13h00). En tant que contribution au Sommet des Nations Unies sur les OMD, qui se tiendra à New York les 22-26 Septembre 2010, nous allons discuter de questions liées au financement du développement dans le contexte de l’agriculture et du développement rural. Il s’agira notamment des questions liées à l ‘aide et à l’apport publique au développement, la fiscalité (les recettes fiscales intérieures), l’investissement privé (bailleurs de fonds nouveaux) et la génération de revenus. Parmi les intervenants, nous aurons le Centre pour la politique de l’environnement au Collège Impérial de Londres, le Partenariat pour la fin de la faim et pauvreté en Afrique, CONCORD, OCDE, Banque africaine de développement, Banque de développement caribéenne, YARA, Organisations régionales d’agriculteurs africains.
Pour plus d’information, veuillez contacter : lopes@cta.int ou boto@cta.int Briefings de Bruxelles Vidéos du dernier Briefing Briefings précédents
- Accès à la terre, acquisitions de terres et développement rural
2010-08-06 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Archives, Pêche Régionale, Environnement, Efficacité Aide, Commerce ACP-UE, Développement rural
La terre est un bien d’une importance primordiale pour des milliards de personnes qui vivent dans les zones rurales des pays en développement. La nature des droits sur la terre et la manière dont ces habitants peuvent en disposer varient grandement selon la compétition pour cette terre, le degré de pénétration du marché et le contexte institutionnel et politique global. La situation est certes très diverse mais, les pressions sur la terre ne feront qu’augmenter ces prochaines décennies en raison de l’impact de la croissance démographique, l’urbanisation, la globalisation des marchés et l’impact du changement climatique. Le Briefing sur le développement rural en Afrique Centrale « Accès à la terre, acquisitions de terres et développement rural: nouveaux enjeux, nouvelles opportunités » qui se tiendra à Yaoundé, Cameroun les 27 et 28 septembre 2010 examinera les liens entre les droits de propriété, les investissements et la création d’opportunités économiques dans les zones rurales; les Politiques et gouvernance foncières et forestières ; L’acquisition de terres à grande échelle et leur contribution au développement et la promotion des investissements agricoles internationaux responsables. Le groupe cible est plus de 130 décideurs de la région Afrique Centrale et d’autres régions d’Afrique qui seront conviés à échanger leur expertise et expérience.
Pour plus ‘information, veuillez contacter : boto@cta.int ou verginelli@cta.int
Programme_1.pdf
- Pourquoi améliorer la mobilisation des ressources nationales en Afrique?
2010-08-05 Catégorie(s) : Efficacité Aide
Les pays en développement qui ont atteint et maintenu de forts taux de croissance y sont généralement parvenus en grande partie grâce à la mobilisation de leurs ressources intérieures. La mobilisation des ressources nationales (MRN) à un niveau significatif est essentielle pour une meilleure appropriation des stratégies de développement et le renforcement des liens de confiance et responsabilité entre les gouvernements et leurs citoyens. En effet, la MRN confère aux pays en développement une « marge de manœuvre et liberté » quant aux politiques qu’ils souhaitent adopter - une liberté souvent contrainte par les termes et conditions des fournisseurs de ressources extérieures. L’aide étrangère est généralement assortie de conditions, souvent de conditions politiques, sans parler des restrictions visant le choix des fournisseurs qui accompagnent “l’aide liée”. L’aide a aussi tendance à être pro-cyclique et volatile. L’investissement direct étranger se dirige généralement vers les secteurs et les projets répondant aux intérêts commerciaux des investisseurs étrangers - par exemple, l’extraction des ressources naturelles. En outre, les gouvernements fortement tributaires de l’aide étrangère, ou du partage des bénéfices avec les investisseurs étrangers, sont moins portés à augmenter les impôts et ont moins de raison de prêter attention aux demandes des citoyens contribuables. Source: International Centre for Trade and Sustainable Development En savoir plus Fiscalité et le développement Financement pour le développement
- Fiscalité et développement en Afrique
2010-08-05 Catégorie(s) : Efficacité Aide
L’Afrique a besoin de systèmes d’imposition plus efficaces, plus productifs et plus justes. Alors que nombre de nations africaines célèbrent le 50e anniversaire de leur accession à l’indépendance en 2010, l’heure est venue pour un continent qui dépend trop encore de flux financiers venus de l’étranger, capricieux et imprévisibles, de regarder à nouveau sur les impôts - un gisement potentiel inexploité de milliards de dollars. Bien que la responsabilité principale en échoit aux États africains, la communauté internationale a aussi un rôle à jouer. Et cette fois-ci, il ne s’agit pas d’aide. La crise économique mondiale a démontré, une fois de plus, combien l’Afrique demeure vulnérable aux chutes des prix des matières premières, à la baisse des revenus d’exportations, à l’inconsistance des flux futurs d’aide extérieure, ainsi qu’ à la baisse de l’investissement direct étranger (IDE), qui se sont traduits par un déficit généralisé des finances extérieures. Dans le même temps, le continent africain continue de souffrir d’une hémorragie grave de capital. Ainsi, Kar et Cartright-Smith (2008) estiment que l’Afrique a perdu au moins 854 milliards de dollars (USD) en fuite illégale de capitaux entre 1970 et 2008. En d’autres termes, alors que l’Afrique reste excessivement tributaire des financements extérieurs, elle est en même temps un créditeur du reste du monde. L’affaire est donc entendue: les économies africaines doivent effectuer un meilleur travail de mobilisation de leurs ressources nationales. Ceci est en grande partie le travail des gouvernements, qui mobilisent les ressources publiques par le biais de l’imposition (et de la dette) en vue du financement des investissements en matière de routes, de centrales énergétiques, d’hôpitaux, etc. Sur le long terme, un système de taxation efficace permet non seulement de réduire la dépendance d’un pays vis-à-vis de l’aide et des autres flux financiers extérieurs largement imprévisibles, mais également d’accroître l’appropriation des programmes de développement par les pays concernés, ainsi que de jeter les bases du contrat social entre l’État, ses citoyens et les entreprises. Source: International Center for Trade and Sustainable Development En savoir plus Fiscalité et développement Financement pour le développement
- Augmentation de la production et de la consommation d’éthanol dans l'UE
2010-08-04 Catégorie(s) : Environnement, Commerce ACP-UE
Après une forte croissance de près de 60 pour cent en 2008, la production européenne de carburant à l’éthanol continue à augmenter et affiche une croissance de 31 pour cent en 2009. « Ce qui lance un signal clair à tous ceux qui doutent que le bioéthanol européen puisse subsister et jouer un rôle de plus en plus important en réduisant les émissions de gaz à effet de serre et en contribuant à la sécurité énergétique », a déclaré eBIO, l’association européenne des producteurs de bioéthanol qui publiait les chiffres. La production totale de l’UE en 2009 était estimée à 3,7 milliards de litres contre 2,8 milliards de litres l’année d’avant. Plusieurs pays ont considérablement augmenté leur production de carburant à l’éthanol en 2009. Le plus grand producteur reste la France, avec une production annuelle en 2009 de 1.250 milliards de litres, une augmentation de 25 pour cent par rapport à 2008. Le second plus grand producteur est l’Allemagne, qui a augmenté sa production de 32 pour cent pour atteindre 750 millions de litres (568 en 2008). Le troisième plus grand producteur reste l’Espagne avec 465 millions de litres (une augmentation de 46 pour cent par rapport à 2008). La production a diminué dans 6 des 18 États membres producteurs, alors que les volumes produits ont augmenté dans 10 États membres et qu’ils sont restés stables dans 8 autres. À noter qu’en 2009, l’Autriche et la Suède ont plus que doublé leur production de carburant à l’éthanol. La croissance de 102 pour cent de l’Autriche la place en quatrième position de la production de l’UE et l’augmentation de 124 pour cent de la Suède place celle-ci en cinquième position. Source: bioenergy.checkbiotech.org En savoir plus eBIO DG énergie
- L’UE fait marche arrière sur l’APE
2010-08-04 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Le commissaire européen du commerce Karel de Gucht a apaisé de grandes organisations européennes de la société civile à propos des négociations d’un accord de partenariat économique (APE) en Afrique australe, en promettant de ne pas exercer une pression excessive sur les pays. D’après Marc Maes, responsable de la politique commerciale chez 11.11.11, l’initiative montre la lassitude de l’Europe à l’égard de l’APE. 11.11.11, le mouvement flamand Nord-Sud qui lutte contre la pauvreté, a protesté contre le traitement de la Namibie par la Commission européenne. « L’UE n’a pas l’intention d’exercer une pression excessive sur la Namibie dans le but de l’amener à signer et à mettre en œuvre l’APE provisoire », écrivait De Gucht dans une réponse à une lettre du 18 juin émanant de 30 organisations européennes influentes de la société civile (OSC). Les négociations d’un APE traînent depuis 2002, lorsque l’accord de Cotonou a redéfini les relations commerciales entre l’UE et les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) conformément aux directives de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Dans leur lettre, les OSC affirment que les Européens exercent une forte pression sur la Namibie pour qu’elle progresse dans les négociations au détriment de ses objectifs de développement. « La signature d’un APE provisoire aurait un sérieux impact sur le développement agricole et industriel de la Namibie. Entre autres conséquences, le pays devrait abandonner l’option politique d’utiliser les taxes à l’exportation sur les matières premières, un stimulant important pour la valeur ajoutée des matières premières et une nouvelle source de revenus potentiellement importante », font observer les OSC. Dans sa réponse, M. de Gucht a tenté d’apaiser leur inquiétude et a déclaré : « L’UE continuera à s’engager auprès de la Namibie et de l’ensemble du groupe des APE / CDAA dans un esprit aussi constructif que dans le passé. L’objectif est de négocier un accord qui servira au mieux les intérêts de la région ». La CDAA est la Communauté de développement de l’Afrique australe. Le commissaire a souligné en outre les avantages d’un accès libre de droits et de tarifs pour les pays de la région. Mais d’après M. Maes, on commence à réaliser en Europe que les négociations devront être terminées avant le troisième sommet Afrique - UE qui se tiendra en novembre 2010 en Libye. Source: Inter Press News Service Agency
En savoir plus OMC DG Commerce
- L’UE autorise l’importation de nouvelles variétés de blé biotechnologique
2010-08-04 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Sécurité alimentaire
La Commission européenne a approuvé mercredi l’importation dans le bloc de six variétés de blé génétiquement modifié, un autre signe de son désir d’accélérer la prise de décision sur la technologie controversée. La Commission, l’organe exécutif de la Commission européenne, a donné unilatéralement les autorisations après l’échec en juin d’une décision des ministres de l’agriculture de l’UE concernant les demandes. Les autorisations, qui sont valables pendant 10 ans, concernent les importations destinées à l’alimentation et aux aliments pour animaux mais non à la culture. « Les six adoptions d’aujourd’hui sont le résultat d’une procédure habituelle et standard relative à l’autorisation de cultures génétiquement modifiées », a déclaré la Commission. Le mois dernier, la Commission avait proposé une révision des règles du bloc sur la culture des organismes GM qui, si elle est approuvée, permettrait aux États membres de décider s’ils autorisent ou interdisent ces cultures sur leur territoire.Les propositions faisaient suite à un engagement pris l’an passé par le président de la Commission, José Manuel Barroso, de donner aux États membres davantage de pouvoir de décision sur cette culture et d’aider ainsi les gouvernements de l’UE à sortir de l’impasse sur cette question. Les décisions ouvrent la voie à de nouvelles importations de variétés de blé approuvées en provenance de pays tels que les États-Unis, le Brésil et l’Argentine. En juin, la Commission a déclaré aux gouvernements de l’UE qu’en n’autorisant pas les variétés, on risquait une interruption des importations d’aliments pour animaux telle que celle vécue l’an passé. Celle-ci était due à la politique de tolérance zéro de l’Union européenne sur les importations de matières GM non autorisées. Les livraisons d’aliments pour animaux provenant des États-Unis s’étaient vues interdire l’entrée sur le territoire européen lorsque l’on avait découvert de minuscules traces de matière non approuvée dans la cargaison. La Commission avait déclaré qu’elle proposerait une petite marge de tolérance pour la matière non approuvée dans les importations de cette année, mais que jusque là, la seule solution pour l’Union est d’approuver l’importation des variétés au cas par cas. Source: greenbio.checkbiotech.org En savoir plus DG de la santé et des consommateurs L’Autorité européenne de sécurité des aliments
- Des inquiétudes à propos du programme des cultures GM de l’Europe
2010-08-04 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire
Après une décennie durant laquelle une seule culture génétiquement modifiée (GM) a été autorisée à être plantée dans l’Union européenne (UE), la Commission européenne a tenté de sortir de l’impasse. Mais sa nouvelle proposition, qui permettrait à des États membres individuels de choisir de faire pousser ou non une culture GM approuvée à l’intérieur de ses frontières, devrait créer de nouvelles incertitudes dans l’industrie de la biotechnologie agricole. Le programme a essuyé de nombreuses critiques dans le débat passionné sur les cultures GM, les responsables industriels, les agriculteurs et les militants anti-GM condamnant tous la démarche. L’UE consulte actuellement l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), un organisme indépendant installé à Parme, Italie, qui procède à une analyse des risques de chaque organisme GM. Le Conseil des ministres prend ensuite une décision sur la culture, et celle-ci s’applique aux agriculteurs et entreprises agroalimentaires de toute l’Europe. Mais le système de vote du Conseil signifie qu’une opposition émanant seulement de quelques-uns des 27 États membres peut bloquer l’introduction d’une culture et, dans ce cas, la Commission européenne prend la décision finale. Jusqu’à présent, une seule culture de pomme de terre contenant de l’amidon modifié — Amflora – développée pour un usage industriel plutôt qu’alimentaire par l’entreprise chimique allemande BASF installée à Ludwigshafen am Rhein — est autorisée dans l’UE, et 16 autres cultures attendent d’être approuvées de manière définitive. La nouvelle mesure annoncée le 13 juillet permettrait aux États membres ou même à une région d’un pays de limiter les cultures GM même si l’EFSA a établi qu’elles ne présentent aucun risque pour la santé humaine ou l’environnement et même si la Commission européenne les a approuvées. La Commission déclare que la nouvelle disposition devrait en principe faciliter l’approbation des cultures à l’échelle de l’UE. Source: greenbio.checkbiotech.org En savoir plus L’Autorité européenne de sécurité des aliments Amflora
- Le Malawi maintient sa position sur les conditions de signature de l’APE
2010-08-04 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Le gouvernement du Malawi maintient sa position face aux demandes de l’Union européenne (UE) de signer un accord de partenariat économique (APE) – même après une visite de hauts fonctionnaires de l’UE en Afrique australe dans le but de le convaincre de signer. La délégation de l’UE, conduite par le directeur de la Commission européenne (CE) pour le développement et les APE, Peter Thompson, et l’ambassadeur de l’UE au Malawi, Alexander Baum, a tendu la main aux hauts fonctionnaires commerciaux du Malawi lors d’une réunion de deux jours qui s’est tenue les 26 et 27 juillet dans la capitale commerciale du pays, Blantyre. Mais le Malawi n’a pas changé d’avis. La ministre du commerce du pays, Eunice Kazembe, a dit pendant la réunion que le Malawi veut obtenir des garanties claires sur les avantages qu’il tirera de l’APE. Elle a déclaré que le Malawi est actuellement défavorisé lorsqu’il s’agit de négocier un APE parce qu’il s’agit d’un pays enclavé et moins avancé (PMA), avec une infrastructure publique médiocre, une capacité technologique inadéquate et des services publics peu fiables. Source: Inter Press News Service Agency En savoir plus ACP-UE Commerce Relations de l'UE avec le Mozambique
- La CE demande une aide humanitaire supplémentaire pour le Sahel
2010-08-03 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire
En réponse à l'aggravation de la crise humanitaire qui touche le Sahel et le Soudan, la commissaire chargée de la coopération internationale, de l'aide humanitaire et de la réaction aux crises, Mme Kristalina Georgieva, a annoncé aujourd'hui que la Commission avait proposé une aide humanitaire supplémentaire d'un montant de 40 millions d'euros issus de la réserve pour les aides d'urgence du budget de l'UE. 30 millions d'euros d'aide supplémentaire seraient alloués au Sahel et 10 millions d'euros au Soudan. Ces 30 millions d'euros supplémentaires portent à 98 millions d'euros le montant total de l'aide humanitaire accordée par la Commission depuis fin 2009 en vue de lutter contre la malnutrition au Sahel. Les fonds supplémentaires serviront à donner un coup d'accélérateur aux opérations d'aide humanitaire effectuées par les partenaires de la Commission et permettront de venir en aide à plus de 500 000 bénéficiaires supplémentaires au cours des prochains mois critiques qui précéderont la période des récoltes en octobre. Plus de 10 millions de personnes dans la région du Sahel se trouvent actuellement menacées d'insécurité alimentaire. Sur ces 10 millions, plus de 7 millions se trouvent au Niger et 3 millions de personnes sont jugées en situation d'insécurité alimentaire aiguë et nécessitent une aide alimentaire d'urgence. Source: Commission européenne En savoir plus Questions et réponses sur le Sahel L’aide alimentaire humanitaire
- L’UE investit 20 millions d’euros dans le programme COMRAP
2010-08-03 Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Développement rural, Commerce ACP-UE
L’UE investit 20 millions d’euros dans le programme COMRAP. ’Union européenne (UE) a investi quelque 20 millions d’euros dans le programme régional d'intrants agricoles (COMRAP) du Marché commun d’Afrique orientale et australe dont l’objectif est de développer la production et la commercialisation de produits alimentaires dans la région. Le Marché commun d’Afrique orientale et australe (COMESA) a lancé un programme régional d’intrants agricoles visant à renforcer la sécurité alimentaire, la productivité et la compétitivité en favorisant l’accès des petits agriculteurs aux facteurs de production agricole. En attendant, le vice-ministre de l’agriculture Allan Mbewe a déclaré qu’il est nécessaire de réagir à l’impact de la hausse des prix alimentaires dans la région étant donné qu’elle affecte 60 pour cent de sa population. Pendant la réunion consultative du programme d’intrants agricoles de la région de la COMESA, le secrétaire général adjoint de la COMESA Stephen Karangizi a déclaré que le programme COMRAP, qui était mis en œuvre par l’agence de la COMESA spécialisée dans les marchés et la sécurité alimentaire, est né de la nécessité d’atténuer l’impact sur les ménages vulnérables de la forte hausse des prix alimentaires que l’on a connue entre 2007 et 2008. Source: Postzambia En savoir plus La COMESA Commerce, intégration régionale et infrastructures
- Le Royaume-Uni promet 15,5 millions de £ pour une nouvelle recherche
2010-08-03 Catégorie(s) : Développement rural
Le gouvernement britannique doit injecter plus de 13,5 millions de £ (15,5 millions d’euros) dans plus de 30 projets de recherche innovants sur la protection des cultures, une tentative qui, il l’espère, aidera les agriculteurs à faire face aux nouvelles réglementations de l’Union européenne. Le financement est coordonné par le TSB (comité britannique de stratégie technologique), un groupe visant à promouvoir l’innovation dans toute une série de disciplines et qui a récemment lancé la Plateforme d’innovation pour une agriculture et une alimentation durables qui rassemble le gouvernement, l’industrie et les chercheurs. Les 32 projets récemment subventionnés reflètent ce désir de rassembler différents partenaires puisqu’ils regroupent plus de 100 entreprises, instituts de recherche et autres organisations britanniques. La valeur totale des projets dépassera 25 millions £ (€28,7), en ce compris les contributions des entreprises britanniques qui organisent la recherche et le développement. Plus de la moitié des projets sont dévolus à la pomme de terre et aux cultures horticoles, des secteurs dont on s’attend à ce qu’ils soient les plus touchés par le programme de l’UE sur les pesticides. Ils comprennent par exemple un projet visant à développer des variétés de pommes de terre capables de résister durablement au mildiou et aux nématodes, des stratégies pour quantifier et contrôler les populations de nématodes libres et les dégâts provoqués par le virus du rattle du tabac pour améliorer le rendement et la qualité des pommes de terre, et une introgression accélérée de la résistance de la plante hôte à la mouche de la carotte dans des variétés de carottes. Un certain nombre de projets de lutte biologique sont compris dans le financement, depuis de nouvelles approches basées sur une fumigation biologique jusqu’au contrôle durable des organismes pathogènes dans le sol, en passant par des domaines tels que le mappage automatique des mauvaises herbes dans les champs arables pour une agriculture de précision, l’amélioration moléculaire de la résistance de l’orge aux maladies et une résistance à large spectre contre les maladies du blé. Le ministre britannique de l’agriculture et de l’alimentation Jim Paice a déclaré : « La protection des cultures est un problème majeur pour les agriculteurs et cultivateurs britanniques. C’est pourquoi je suis heureux que ce soit là le premier domaine ciblé par la plateforme. Cette concurrence, à laquelle le Département de l’environnement, de l’alimentation et des questions rurales (Defra) a contribué à hauteur de £3,5 millions (€4,1 millions), apportera un soutien vital aux agriculteurs suite aux changements des réglementations de l’UE sur les pesticides. » Cependant, le choix des projets et la nature de la ‘concurrence’ pour un financement n’ont pas été bien accueillis partout. Des critiques ont souligné que les projets sont conçus pour offrir une précieuse propriété intellectuelle aux partenaires concernés mais qu’ils ne seront pas partagés par l’ensemble de l’industrie. En particulier, un seul projet partiellement financé par les cultivateurs grâce au système britannique de prélèvements a été sélectionné. Ces prélèvements effectués par l’AHDB (conseil pour le développement de l’agriculture et de l’horticulture) sont destinés à financer la recherche et le développement en passe d’être commercialisés (near market R&D) et le transfert de technologie associé, et donc à bénéficier aux cultivateurs. Dans le secteur horticole, par exemple, les cultivateurs versent généralement 0,5% de leur chiffre d’affaires annuel à la Société de développement agricole, ce qui génère un fonds de recherche annuel de près de £ 5 millions (€5,9 millions). Le président de HDC Neil Bragg a déclaré au magazine Horticulture Week : « Le problème des projets attribués est qu’ils se concentrent sur des entreprises individuelles et ne favorisent donc pas l’ensemble de l’industrie horticole. Si c’est la voie que le gouvernement a l’intention d’emprunter, qu’il en soit ainsi, mais cela ne nous apporte aucun avantage ». Source: Endure En savoir plus Sécurité alimentaire UE
- Le Malawi reste sur sa position et dit 'non' aux APE
2010-08-03 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
Lundi (26 Juillet), la ministre de l’industrie et du commerce Eunice Kazembe a répété qu’il est nécessaire que l’Union européenne (UE) se penche sur les facteurs institutionnels, d’infrastructure et de capacité qui ont empêché le Malawi de tirer parti du précédent accès préférentiel à l’UE, avant que le pays puisse signer les accords de partenariat économique (APE) controversés. Mme Kazembe prenait la parole à Blantyre, au début d’une réunion de haut niveau sur le rôle du Malawi dans les négociations ESA-APE. La rencontre a attiré de hauts fonctionnaires gouvernementaux, des capitaines d’industrie, des acteurs de la société civile et des gourous des médias qui ont discuté de certains des défis qui affectent la signature du pacte commercial par le Malawi. Elle a déclaré que la capacité du Malawi à commercer d’une manière favorable au développement est affectée de façon négative par des contraintes paralysantes du côté de l’offre. « En tant que PMA (pays moins avancé) et pays enclavé, les coûts de transport sont extrêmement élevés et représentent jusqu’à 50 ou 60 pour cent de la valeur totale des exportations. « Le pays est aussi confronté à d’autres défis, notamment une infrastructure publique médiocre, des services publics peu fiables, une faible productivité du travail, des exigences en matière de normes, des mesures sanitaires et phytosanitaires, et une capacité technologique inadéquate qui ne permet pas d’ajouter de la valeur à ses produits. « Le Malawi attend de ces défis qu’ils soient résolus avant une libéralisation totale », a déclaré Mme Kazembe. Dans ses remarques, l’ambassadeur de l’UE au Malawi, Alexander Baum, a souligné la nécessité d’un débat plus ouvert sur la politique commerciale du pays si celui-ci veut aller de l’avant. Il a fait observer que le débat sur les APE avait été survolté et qu’il nécessite plus de sobriété. Source: THe Nation En savoir plus Relations de l'UE avec le Malawi Pays les moins avancés
- Une plus grande participation de l’Afrique au commerce mondial
2010-08-03 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
En vue de garantir une plus grande participation et d’accélérer l’intégration des pays ACP dans l’économie mondiale, les experts de plus de 23 pays d’Afrique centrale et occidentale se sont réunis pour la 6ème réunion de coordination qui s’est concentré exclusivement sur la clôture de la première phase du projet et sur son évaluation, ainsi que sur la préparation de la seconde phase qui doit débuter le 1er janvier 2011. La Commission européenne, le secrétariat du Commonwealth et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) ont lancé en mars 2005 le projet ‘Hub and Spokes’ afin de renforcer les capacités des pays ACP à formuler, négocier et exécuter des politiques commerciales. Parmi les participants se trouvaient des représentants d’organisations intergouvernementales telles que la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC). la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEEAC), la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), ainsi que des conseillers et des spécialistes formés au projet. En inaugurant l’atelier, le directeur du développement durable et de la solidarité de l’OIF, M. Tharcisse Urayeneza, a expliqué que le séminaire était le dernier organisé dans le cadre de la première phase du projet, qui a été lancé pour permettre aux 77 pays ACP de négocier et de conclure des accords de partenariat économique UE-ACP et de faire du commerce un outil de réduction de la pauvreté et de croissance économique. De son côté, le ministre du commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, a expliqué les bénéfices que le projet a déjà engrangés. Les pays ACP bénéficiaires sont mieux préparés et participent de façon plus efficace aux négociations commerciales internationales, en particulier aux négociations avec l’Union européenne sur les accords de partenariat économique et aux négociations du cycle de Doha pour le développement du commerce international. Source: Cameroon Tribune En savoir plus Le Projet Hub and Spokes Facilitation des échanges
- Publication des appels à propositions FP7 2011
2010-08-03
Le 20 juillet 2010, l’UE a publié plus de 50 appels à propositions dans le cadre du 7ème programme cadre de R&D, pour un montant total de 6,4 milliards d’euros. Un grand nombre de ces appels concernent les questions énergétiques. Une vue d’ensemble indicative des thèmes concernant l’énergie dans l’ensemble des appels. Source: Commission européenne En savoir plus Septième programme-cadre DG Recherche
- Coopération scientifique entre l’Amérique latine, les Caraïbes et l'UE
2010-08-02
La coopération avec l’Amérique latine et les Caraïbes bénéficie d’une attention spéciale dans les programmes de travail FP7 2011, qui doivent apporter une contribution spécifique à l’initiative commune de recherche et d’innovation UE-ALC, approuvée par le sommet UE-ALC qui s’est tenu en mai 2010 à Madrid. Ce qui renforce la création d’un espace de la connaissance UE-ALC, qui est à l’agenda politique depuis le sommet de Guadalajara en 2004 et bénéficie d’une nouvelle dynamique avec le lancement de l’initiative commune. Bien que tout le FP7 soit ouvert à la coopération internationale, un certain nombre de thèmes invitent ou requièrent spécifiquement une participation de l’Amérique latine et des Caraïbes à trois thèmes de 2011, et plusieurs vidéoconférences et une journée d’information sont prévues pour garantir une forte participation. Brochure ‘cadre politique de coopération et conseils pratiques pour s’associer à des propositions fortes’. Source: Commission européenne En savoir plus CE Recherche
- Hausse du prix des céréales déclenchée par la chaleur en Europe
2010-08-02 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Développement rural, Environnement
La flambée des prix des céréales en Europe suite à la canicule de ces dernières semaines devrait entraîner une augmentation du prix de la farine, et les agriculteurs sont confrontés à une augmentation des factures de nourriture pour animaux, ont déclaré des cadres supérieurs de l’industrie et des analystes. Mais certains analystes doutent que les récentes augmentations de prix soient durables étant donné l’importance des stocks mondiaux de céréales et le fait que les réserves globales de céréales restent actuellement satisfaisantes. Le prix des céréales européennes a grimpé d’environ 25% ces trois dernières semaines alors que la chaleur et la sécheresse frappaient les cultures d’Europe occidentale et orientale juste avant la récolte. Vendredi, le prix du blé à Paris était d’environ 178 euros par tonne. Les champs européens ressemblent à l’Afrique La vague de chaleur a ralenti la croissance de l’herbe, déclare Mme Campbell-Gibbons. Les rendements de la première coupe d’herbe destinée à la fabrication de fourrage pour les vaches laitières ont diminué de 20 à 30% au début du mois de juin et de 50% lors de la seconde coupe fin juin. « Suite à la vague de chaleur, de nombreux champs ressemblent plus à l’Afrique qu’à des prairies européennes », affirme un négociant en blé. Le temps chaud signifie aussi que les vaches ont passé plus de temps à l’intérieur, ce qui a augmenté la quantité de paille nécessaire à leur litière. Mme Campbell-Gibbons dit que le prix de la paille britannique a grimpé jusqu’à 100 livres par tonne alors qu’il était d’environ 60 livres l’an passé. Elle affirme que les agriculteurs évaluent l’augmentation totale des coûts à environ 1 à 1,5 pence par litre de lait. La France a autorisé les agriculteurs à utiliser les terres gelées pour nourrir les animaux et compenser la diminution de production des aliments pour animaux suite à la vague de chaleur qu’a connue le pays ces dernières semaines. Dans le cadre du programme européen de gel des terres, les agriculteurs des pays de l’UE doivent garder des terres inexploitées et ne pas cultiver de produits agricoles subsidiés. La France a autorisé l’utilisation de ces terres gelées étant donné l’imminence d’une pénurie d’aliments pour animaux. Mais le tableau est moins sombre dans l’Espagne inondée de soleil, où les agriculteurs ne sont pas inquiets du temps chaud actuel qui, disent-ils, n’est pas inhabituel en cette période et arrive alors que les céréales et d’autres cultures similaires ont fini de mûrir. Source: Euractiv En savoir plus Les prix agricoles et alimentaires
- Commerce des espèces menacées d’extinction
2010-08-02 Catégorie(s) : Commerce ACP-UE
La 3028e session du Conseil sur les Affaires générales, qui s’est tenue à Bruxelles le 26 juillet 2010, a décidé de ne pas s'opposer à l'adoption par la Commission d'un règlement modifiant le règlement n° 338/97 du Conseil relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages. Les modifications mettent en œuvre les changements apportés au régime commercial international des espèces menacées d'extinction, approuvé au cours de la 15ème session de la conférence des parties à la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, qui s'est tenue à Doha (Qatar) en mars 2010. Le règlement de la Commission est soumis à la procédure de réglementation avec contrôle. En vertu de cette procédure, le Conseil peut s'opposer à un acte qui excède les pouvoirs d'exécution de la Commission, est incompatible avec le but ou le contenu de l’instrument de base ou ne respecte pas les principes de subsidiarité ou de proportionnalité de l'UE. Le Conseil ayant donné son accord, la Commission peut à présent adopter le règlement, à moins que le Parlement européen ne s'y oppose. Source: Conseil de l'Union européenne En savoir plus DG environment
- Service européen pour l’action extérieure
2010-08-02
La 3028e session du Conseil sur les Affaires générales, qui s’est tenue à Bruxelles le 26 juillet 2010, a adopté une décision instituant le Service européen pour l'action extérieure (SEAE) et fixant son organisation et son fonctionnement (11665/1/10). La création du SEAE est l'une des modifications les plus importantes introduites par le traité de Lisbonne, qui est entré en vigueur le 1er décembre 2009. Il vise à accroître la cohérence et l’efficacité de l’action extérieure de l’UE en renforçant de ce fait l'influence de l’UE dans le monde. Le SEAE assistera Catherine Ashton, la Haute représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, à accomplir son mandat. Il travaillera en collaboration avec les services diplomatiques des États membres et se composera de fonctionnaires des services concernés du Secrétariat général du Conseil et/ou de la Commission, ainsi que de personnel détaché des services diplomatiques nationaux des États membres. Source: Conseil de l'Union européenne En savoir plus Service européen pour l’action extérieure Cohérence des politiques pour le développement
- La Commission va financer plus de 200 nouveaux projets LIFE+
2010-08-02 Catégorie(s) : Environnement
La Commission européenne a approuvé le financement de 210 nouveaux projets dans le cadre du troisième appel à propositions pour le programme LIFE+ (2007-2013), qui est l'instrument financier européen pour l'environnement. Les projets proviennent de toute l'UE et incluent des actions dans les domaines de la conservation de la nature et de la politique environnementale, ainsi que de l'information et de la communication. Ensemble, ils représentent un investissement total de 515 millions €, dont 249,8 millions seront financés par l’Union européenne. M. Janez Potočnik, membre de la Commission européenne chargé de l’environnement, a déclaré à ce propos: «Le programme LIFE+ continue à financer des projets novateurs de grande qualité apportant une forte valeur ajoutée à l'UE. Je suis convaincu que ces nouveaux projets vont non seulement contribuer à la conservation de la nature et à l'amélioration de l'environnement mais également accroître, dans toute l'Europe, la sensibilisation aux grands défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés, à savoir la diminution de la biodiversité, la pénurie d'eau et le changement climatique.» Lors de l’appel à propositions, qui a été clôturé en novembre 2009, la Commission a reçu plus de 600 propositions d'organismes publics et privés des 27 États membres de l'UE. Parmi ces propositions, 210 ont été sélectionnées en vue d'un cofinancement au titre des trois volets du programme: LIFE+ Nature et biodiversité, LIFE+ Politique et gouvernance en matière d'environnement et LIFE+ Information et communication. Les projets LIFE+ Nature et biodiversité améliorent l'état de conservation des espèces et des habitats menacés. Sur les 194 propositions reçues, la Commission a retenu, en vue d'un financement, 84 projets émanant de partenariats réunissant des associations de protection de la nature, des autorités gouvernementales et d'autres parties. Situés dans 24 États membres, ils représentent un investissement total de 224 millions €, dont quelque 124 millions seront pris en charge par l’Union européenne. La majorité des projets (74) concernent la nature et contribuent à la mise en œuvre des directives «Habitats» et/ou «Oiseaux» ainsi que du réseau Natura 2000. Les dix autres projets portent sur la biodiversité; il s'agit d'une catégorie de projets LIFE+ ayant trait à des initiatives pilotes qui abordent des problèmes plus vastes liés à la biodiversité. La Commission se félicite de l'augmentation constante du nombre de projets portant sur la biodiversité financés depuis 2007 (quatre projets), date à laquelle cette catégorie de projets a été mise en place. Source: Commission européenne En savoir plus Projets Nature et biodiversité LIFE+
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