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 Invité: Vincent Martin, FAO Sénégal

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CTA - Bulletin du Bureau de Bruxelles
Sujet: CTA - Bulletin du Bureau de Bruxelles
Date d'envoi: 2013-03-20 15:48:07
Publication #: 170
Contenu:
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Ce blog partage des informations clé sur les programmes et évènements
ACP-UE à Bruxelles importants pour le développement agricole et rural des pays ACP.


Date : [20/03/2013]
Bulletin du Bureau de Liaison du CTA à Bruxelles

Principaux évènements de la semaine.
  1. Principaux événements de la semaine 18.03.2013 - 24.03.2013
  2. Notre invité vidéo: Kostas Stamoulis, FAO
  3. Célébration du 30e Briefing de Bruxelles
  4. 30e Briefing de Bruxelles : La résilience agricole
  5. PE : Nouvelle politique agricole européenne votée
  6. L'UE : nouvelle stratégie pour améliorer la nutrition dans le monde
  7. Le Secrétariat ACP met à l’honneur les femmes de lettres
  8. UE : interdiction totale de l’expérimentation animale pour cosmétiques
  9. Pays en développement à recueillir les fruits de la facilitation des échanges
  10. Programme FLEGT : appels à propositions de projets
  11. Indications géographiques européennes : €54 milliards
  12. Fidji appelle l’UE à conclure l’APE
  13. Fidji veut un « approvisionnement mondial » pour le poisson
  14. Madagascar : aide humanitaire d'urgence de 200.000 euros
  15. Afrique et UE : mise en œuvre des technologies de navigation satellite
  16. L'UE et la FAO soutient la nutrition et à la sécurité alimentaire au Malawi
  17. UE : Règles contre l’exploitation illégale des forêts
  18. Deuxième appel à propositions de la deuxième Facilité énergie ACP-UE
  19. Première réunion du Partenariat européen d’innovation
  20. Nouvelle présidence pour le Groupe ACP
  21. L'existence d'émissions indirectes de biocarburants confirmée
  22. PE : l'UE doit passer à la vitesse supérieure
  23. Fidji: Décisions de l’UE mettent en péril le poisson et le sucre
  24. Les citoyens de l'UE : participation accrue des femmes dans les pays en développement


  1. Principaux événements de la semaine 18.03.2013 - 24.03.2013
    2013-03-20

    Parlement européen:

    18-19 mars: Commission parlementaire de l'agriculture et du développement rural ;  Commission parlementaire du développement;
    20 mars: Commission du commerce international
    20-21 mars : Commission des affaires étrangères; Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire
    21 mars : Commission de la pêche

    Conseil Européen:

    18-19 mars: Réunion du Conseil Agriculture et Pêche (FISH AGRI)
    19-21 mars: Réunion des directeurs des Agences de Développement Rural
    21 mars: Réunion du Conseil de l'Environnement (ENVI)
    21-22 mars: Groupe de travail- Affaires générales

    ACP :

    19 mars: Membres ACP de la commission des affaires politiques; Membres ACP de la commission des affaires sociales et de l’environnement; Membres ACP de la commission du développement économique, des finances et du commerce, Bureau de l'Assemblée parlementaire ACP
    20 mars: 31e Session de l'Assemblée parlementaire ACP
    21-22 Mars: Commission des affaires politiques; Commission du développement économique, des finances et du commerce; Commission des affaires sociales et de l’environnement

    Vous pouvez également nous suivre à travers notre nouveau group de Facebook CTABrussels ainsi que notre compte Twitter CTABruxelles pour recevoir les dernières informations UE-ACP.




  2. Notre invité vidéo: Kostas Stamoulis, FAO
    2013-03-20
    Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Agriculture

    'Le premier C(OMD) ne sera certainement pas atteint d’ici 2015. Toutefois, de nombreux pays – presque 40 – s’en approchent. Malheureusement, l’Afrique est la région qui enregistre les moins bons résultats et l’objectif global ne sera pas atteint' (Kostas Stamoulis, directeur de la direction de la FAO chargé de l’économie du développement agricole).

    À l’occasion de la présentation du récent rapport de la FAO sur L'état de l’alimentation et de l’agriculture en 2012, le CTA de Bruxelles a rencontré Kostas Stamoulis, le directeur chargé de la division de la FAO de l’économie du développement agricole, afin de discuter des changements nécessaires pour atteindre le premier Objectif du Millénaire pour le Développement (OMD 1) visant à réduire de moitié de la proportion de personnes qui souffrent de faim dans le monde, et de l’évolution nécessaire de l’agriculture dans les pays en développement.

    Dans les grandes lignes :
     l’OMD 1 ne pourra pas être atteint d’ici 2015,
     presque 40 pays s’en approchent,
     globalement, l’Afrique ne devrait pas l’atteindre,
     une méthode révisée et améliorée a permis de faire de nouvelles estimations de la sous-alimentation et d’observer un déclin prononcé de la prévalence de la famine depuis 1992,
     afin d'améliorer l'état de l'agriculture dans les pays en développement, il ne suffit pas d’augmenter la productivité des exploitations, il convient également de leur donner accès aux marchés et de réduire les coûts de transaction.


    Link Voir la vidéo
    Link Le rapport sur 'L'état de l’alimentation et de l’agriculture en 2012'
    Link Plus sur les OMDs


  3. Célébration du 30e Briefing de Bruxelles
    2013-03-18
    Catégorie(s) :

    Le 4 mars 2013, le CTA, le Groupe ACP, la Commission européenne et CONCORD ont célébré le 30e Briefing de Bruxelles.
    Lancés il y a à peine plus de cinq ans en novembre 2007, les Briefings ont rassemblé des experts reconnus et des leaders d’opinion issus du monde entier afin de débattre de sujets d’une importance cruciale pour l’agriculture et le développement rural dans les pays ACP. Dans l’intervalle, les participants, dont des décideurs et des acteurs de terrain de l’ACP et de l’UE, se sont réunis autour de thèmes tels que la sécurité alimentaire, l’environnement et le changement climatique, l’emploi rural, le commerce et la gouvernance alimentaire.
    Au fil des ans, les Briefings ont résolument gagné en popularité. Aujourd’hui, 170 personnes en moyenne prennent part aux briefings bimestriels et autant de personnes y assistent grâce à la retransmission en direct en ligne.
    Récemment, d’autres organisations internationales telles que l’IFPRI, l’Union africaine et le NEPAD participent à l’organisation de Briefings individuels, apportant une perspective unique sur le thème abordé. Nous nous réjouissons d’accueillir de nouveaux partenaires pour les thèmes à venir.
    Mais les briefings régionaux, quant à eux, ne sont pas en reste. L’année dernière, ces derniers furent organisés à l’Île Maurice, à Sainte-Lucie et à Addis-Abeba, en Éthiopie. Ils ouvrent une perspective plus régionale sur les thèmes abordés et les organisateurs espèrent qu’ils faciliteront la pertinence et le caractère inclusif du développement politique.
    Le premier Briefing national a été organisé en Haïti le 27 février 2013 Avec leur orientation proprement nationale, ces Briefings « spin-off » garantissent la mise en avant du développement agricole et rural à l’ordre du jour national. Nous nous réjouissons de voir ces briefings se développer à travers les régions ACP.
    Pour marquer ce 30e Briefing de Bruxelles, les participants ont reçu un CD-ROM commémoratif comportant des documents informatifs mis à jour, ainsi que des temps forts, des présentations et des notes politiques pour 2007-2012. Ces ressources et bien d’autres sont à présent téléchargeables en ligne.

    Pour visionner plus de photos de l’évènement, visitez notre site : http://bruxellesbriefings.net/


    Link En savoir plus
    Link Le site des Briefings de Bruxelles


  4. 30e Briefing de Bruxelles : La résilience agricole
    2013-03-18
    Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Agriculture,

    Le 4 mars s’est tenue la 30e édition du Briefing de Bruxelles consacré à la « Résilience agricole face aux crises et aux chocs », organisée par le CTA avec la coopération du Secrétariat de l’ACP, la CE/DG DEVCO, Concord et l’IFPRI au sein du Comité économique et social européen à Bruxelles.
    Lors les deux tables rondes du briefing, des experts et agriculteurs internationaux ont abordé le concept de la résilience et ont attiré l’attention sur des approches et des instruments qui ont fait leur preuve dans certains domaines clés présentant des avantages particuliers pour les petits producteurs des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP).
    Parmi les points forts de l’événement figurait une présentation du Dr Akinwumi Adesina, Ministre de l’agriculture du Nigéria, sur les six politiques appliquées au Nigéria en vue de renforcer la résilience. Celui-ci a également souligné l’importance de l’intégration d’institutions, de technologies et d’outils, ainsi que des approches agro-écologiques pour développer des systèmes agricoles résilients.

    D’autres présentations ont couvert des sujets tels que : l’approche européenne de la résilience, la résilience dans les pays en situation de crise prolongée, le reverdissement du Sahel comme moyen de renforcer la résilience, les cultures résistantes à la sécheresse au bénéfice des petits producteurs et le développement de la résilience communautaire face aux catastrophes.
    L’événement a réuni plus de 200 participants. Le Briefing de Bruxelles sur le développement est un évènement bimensuel destiné à résoudre des problématiques et des défis clés pour le développement rural dans le contexte de la coopération ACP-UE.

    Vous pouvez consulter les discours et les présentations des orateurs sur notre site : http://bruxellesbriefings.net/


    Link En savoir plus
    Link Plus sur les Briefings de Bruxelles


  5. PE : Nouvelle politique agricole européenne votée
    2013-03-15
    Catégorie(s) : Agriculture

    Les eurodéputés ont voté mercredi (13 mars) l’adoption d’un paquet législatif controversé sur la politique agricole commune (PAC) pour 2014-2020, un revers infligé aux partisans de mesures environnementales plus strictes et la fin des subventions agricoles, dont celles sur le sucre.
    Au cours de l'après-midi de vote, le Parlement a approuvé :
    •    de justesse (375 contre 277) la prolongation des quotas et d'autres règles sur le marché commun ;
    •    les règles sur des paiements directs pour les agriculteurs, ou le premier pilier, (427 contre 224) ;
    •    les règles du deuxième pilier, le programme de développement rural qui comprend le financement partagé avec les gouvernements nationaux (556 contre 95) ;
    •    des règles relatives au financement, à la gestion et à la surveillance (472 contre 172).
    Cela se traduit par:
    Paiements :
    •    Aucun agriculteur d'un État membre ne devrait recevoir moins de 65% de la moyenne européenne.
    •    Les bénéficiaires des fonds agricoles européens et a introduit une liste de propriétaires terriens, tels que les aéroports et les clubs de sport, qui seraient automatiquement exclus du financement de l'UE, à moins qu'ils prouvent que l'agriculture constitue une part importante de leurs revenus.
    •    Plafonnement des paiements directs à toute exploitation à 300 000€ et réduction forte des paiements à celles recevant plus de 150 000€.
    Verdissement
    •    30% des budgets nationaux pour les paiements directs devraient être subordonnés au respect de mesures de verdissement obligatoires (ces mesures devraient être plus flexibles et graduelles).
    Les jeunes et petits agriculteurs
    •    Les jeunes agriculteurs devraient recevoir 25% de paiements complémentaires pour un maximum de 100 ha
    Lait, sucre et vin
    •    Afin de garantir que l'expiration des quotas laitiers n'entraîne pas une crise sérieuse dans ce secteur, les députés proposent d'octroyer une aide pendant au moins trois mois aux producteurs de lait qui réduisent volontairement leur production d'au moins 5 %. Les amendements demandant la prolongation des quotas laitiers, qui expireront en 2015, ont été rejetés par le Parlement dans son ensemble.
    •    les quotas sucriers seront maintenus jusqu'à la fin de 2019-2020
    •    Les droits de plantation des vignes devraient également être prolongés jusqu'à 2030 au moins.
    Dacian Cioloş, le commissaire européen en charge de l'agriculture, espérait qu'un accord final pourrait être atteint d'ici la fin de la présidence irlandaise du Conseil de l'UE en juin. « C'est notre véritable ambition, mais elle sera difficile à réaliser. »
    Le commissaire, qui a proposé un cadre réglementaire pour la PAC en octobre 2011, s'est dit mécontent de certains résultats, dont la prolongation de six ans des subventions pour les betteraves sucrières qui devaient s'achever d'ici 2016 en vertu d'un accord précédent. « Nous n'estimons pas que le secteur ait besoin de plus de temps pour se préparer », a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. « Le secteur du sucre en Europe est concurrentiel. »
    La forme finale de la politique agricole de l'UE sera décidée par le Parlement européen, les ministres européens de l'agriculture et la Commission européenne, lors de négociations tripartites qui devraient débuter dès fin mars/début avril.. La mise en œuvre complète de la nouvelle PAC et des règles sur les paiements directs aux agriculteurs ne devrait pas avoir lieu avant 2015, un an après l’entrée en vigueur prévue.


    Source : Commission Européenne, Euractiv


    Link En savoir plus
    Link Communiqués de presse du PE
    Link L’avenir d’une PAC verte dépend du Parlement


  6. L'UE : nouvelle stratégie pour améliorer la nutrition dans le monde
    2013-03-15
    Catégorie(s) : Archives, Sécurité alimentaire, Politique de développement, Politique ACP-UE

    Une nouvelle stratégie de la Commission européenne lancée le mercredi 13 Mars vise à améliorer la nutrition des mères et des enfants et à réduire ainsi la mortalité et les maladies.
    Cette nouvelle stratégie est exposée dans la communication intitulée 'Améliorer la nutrition maternelle et infantile dans le cadre de l’aide extérieure: un cadre stratégique de l’UE'.
    La nouvelle stratégie vise à réduire le nombre d'enfants de moins de cinq ans présentant un retard de croissance (dont la taille est trop petite pour leur âge et qui souffrent de troubles du développement mental)  d'au moins 10 % (soit 7 millions d'enfants) d'ici 2025.
    La communication prévoit des dotations plus élevées pour la nutrition et l'aide alimentaire au titre des budgets de l'UE dans les domaines de l’aide humanitaire et du développement, ainsi qu'un ciblage plus efficace et justifié de cette aide. L'UE s'attaquera à la fois aux conséquences et aux causes profondes de la dénutrition.
    L’UE entend promouvoir l'allaitement maternel et d'autres changements de comportement, fournir des micronutriments essentiels tels que le fer et soutenir des activités telles que l'administration de vermifuges et des interventions alimentaires supplémentaires et thérapeutiques (notamment le traitement d'enfants souffrant de malnutrition grave). La dénutrition sera également jugulée par des investissements dans le développement rural, l'agriculture durable, la santé publique, l'eau et les services d'assainissement, la protection sociale et l'éducation.
    La nouvelle stratégie prévoit également une collaboration plus soutenue avec le secteur privé, qui peut financer des activités telles que le contrôle de la sécurité des produits, l'enrichissement de produits alimentaires en minéraux et vitamines et la sensibilisation par le marketing social.
    La communication sur la nutrition viendra compléter la politique existante de l'UE en matière de sécurité alimentaire, et plus particulièrement la politique de sécurité alimentaire de 2010, la politique d'assistance alimentaire de 2011 et la communication de l'an dernier relative à l'approche de l'UE sur la résilience. La nutrition et la résilience sont étroitement liées dans des régions telles que le Sahel et la Corne de l'Afrique, où la résilience est le principe directeur des initiatives multipartenaires AGIR (Alliance Globale pour l’Initiative Résilience) et SHARE (Supporting the Horn of Africa’s Resilience), qui visent à remédier aux crises alimentaires et nutritionnelles.
    La stratégie a été présentée lors de la réunion du mouvement pour le renforcement de la nutrition (Scaling Up Nutrition ou SUN) - une plateforme mondiale créée en 2010 avec la participation active de la Commission européenne et dont l'objectif est de relever le défi de la dénutrition et de la malnutrition- qui s’est tenu à Bruxelles les 14 et 15 mars.
    La dénutrition est à l'origine d'au moins un tiers de la mortalité infantile et d'un cinquième de la mortalité maternelle.


    Source : commission Européenne


    Link En savoir plus
    Link Action de l'UE sur la nutrition [EN]
    Link exte intégral de la communication


  7. Le Secrétariat ACP met à l’honneur les femmes de lettres
    2013-03-15
    Catégorie(s) : Archives

    Ce 8 mars, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, le Secrétariat ACP à Bruxelles a mis à l’honneur les femmes de lettres.
    Cette journée fut marquée par le lancement de deux expositions : « ACP Women of Literature », durant laquelle les visiteurs ont l’occasion de consulter des ouvrages écrits par des femmes des pays ACP, et « Women of Africa », mettant en scène des affiches de femmes africaines importantes qui se sont illustrées dans les domaines politique, social et culturel.
    De plus, S.E. Dr Mohamed Ibn Chambas, Secrétaire général du Groupe d’États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, et S.E. M Samuel Outlule, Ambassadeur du Botswana, Président du Comité of des ambassadeurs ACP, ont tous deux préparé un discours à cette occasion.
    Dans son discours, le Dr Mohamed Ibn Chambas a souligné le rôle considérable des femmes dans l’éducation et la transmission de bonnes habitudes et de valeurs importantes à la génération suivante, ainsi que dans la promotion de la démocratie en politique. Il a également souligné qu’il fallait mettre un terme à tout acte de discrimination, d’intimidation, de persécution et à toute poursuite à l’encontre des femmes. Ainsi, il est venu ajouter sa voix à l’appel des Nations unies du 25 novembre 2012 pour l’élimination de la violence envers les femmes.

    En 2013, le CTA fête également ses 30 ans d’actions en faveur des femmes dans les domaines de l’agriculture et du développement rural. Le CTA a organisé le premier événement consacré à ce sujet en 1986, à savoir la conférence (à Bruxelles) sur les Stratégies d'alimentation et de nutrition, qui soulignait le rôle crucial des femmes dans la sécurité alimentaire. Cette année se tiendra la 3e édition de Africa Wide Women and Young Scientists Awards. Elle devrait avoir lieu du 15 au 20 juillet.
    Le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) a contribué à l’événement au travers d'un stand et de publications écrites ou publiées par des femmes.

    Source : ACP, CTA Bruxelles.


    Link En savoir plus [EN]
    Link Déclaration du Secrétaire général [EN]
    Link Plus sur l' ACP
    Link Programme_de_lvnement_EN.docx

  8. UE : interdiction totale de l’expérimentation animale pour cosmétiques
    2013-03-14
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE

    La dernière étape prévue dans l’élimination progressive de l’expérimentation animale pour les produits cosmétiques commercialisés dans l’Union a pris fin le lundi 11 Mars. Désormais, les cosmétiques ayant fait l’objet de tests sur les animaux ne peuvent plus être mis sur le marché dans l’Union.
    La recherche de méthodes de substitution à l’expérimentation animale se poursuivra, car le remplacement total des essais sur les animaux par d’autres méthodes n’est pas encore possible. La Commission a affecté à ces travaux de recherche près de 238 millions € entre 2007 et 2011.
    L’expérimentation animale dans l’Union est déjà interdite depuis 2004 pour les produits cosmétiques et la même chose vaut depuis 2009 pour les ingrédients de ces produits («interdiction de l’expérimentation animale»). Depuis mars 2009, il est également interdit de mettre sur le marché dans l’Union des cosmétiques contenant des ingrédients ayant fait l’objet d’essais sur les animaux («interdiction de mise sur le marché»). Pour les effets les plus complexes sur la santé humaine (toxicité à doses répétées, y compris la sensibilisation cutanée et la cancérogénèse, toxicité pour la reproduction et toxicocinétique), l’entrée en vigueur de l’interdiction de mise sur le marché avait été repoussée au 11 mars 2013.


    Source : Commission Européenne


    Link En savoir plus
    Link Plus sur l’expérimentation animale dans l'UE
    Link Article sur Euractiv [EN]


  9. Pays en développement à recueillir les fruits de la facilitation des échanges
    2013-03-14
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE

    La Commission européenne pousse pour obtenir un accord de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui réduirait la quantité de paperasserie dans les échanges commerciaux et augmenterait les recettes dans le monde de plus 30 milliards d’euros. Deux tiers de ces montants seraient destinés aux pays en développement.
    Le commissaire européen en charge du développement, Andris Piebalgs, et celui en charge du commerce, Karel De Gucht, se sont mobilisés afin de garantir la conclusion d'un accord de l'OMC sur la facilitation des échanges, dans le cadre d'une action internationale qui vise à accroître la contribution du commerce au développement, a annoncé la Commission européenne le 8 mars.
    Le soutien de l'UE répond aux demandes d'aide des pays les moins avancés (PMA) qui veulent tirer parti de cet accord, susceptible d'être conclu lors de la 9e conférence ministérielle de l'OMC à Bali en décembre.
    En moyenne, dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), cinq documents sont exigés au passage de la douane tandis que le dédouanement des marchandises dure dix jours et coûte environ 735 € par conteneur.
    En revanche, les pays africains exigent en moyenne deux fois plus de documents et il leur faut jusqu’à 35 jours pour le dédouanement des exportations et 44 jours pour celui des importations, le coût moyen par conteneur s’élevant respectivement pour ces deux types de transactions à 1 285 € et 1 535 €. L’OCDE estime qu’une réduction de 1 % des coûts des opérations commerciales se traduirait par des gains de revenus mondiaux s’élevant à plus de 40 milliards de dollars (30,75 milliards d'euros), dont 65 % bénéficieraient aux pays en développement.

    Source: Euractiv


    Link En savoir plus
    Link Plus sur la 9e conférence ministérielle de l'OMC
    Link Plus sur l'aide pour le commerce [EN]


  10. Programme FLEGT : appels à propositions de projets
    2013-03-14
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Environnement

    L’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a publié le 1er mars 2013 un appel à propositions pour la deuxième tranche du programme FLEGT soutenu par l’Union européenne (UE) (application des réglementations forestières, gouvernance et échanges commerciaux).
    Le programme vise à soutenir une gestion durable des forêts dans les pays APV, qui négocient ou ont déjà conclu un accord de partenariat volontaire (APV) avec l'Union européenne afin de garantir que seul le bois légalement collecté est importé dans l'UE, en investissant dans la gouvernance et le renforcement des capacités pour assurer la légalité des opérations forestières d’exportation de bois vers l’UE.
    Ce programme est disponible pour les pays qui négocient ou ont déjà conclu un APV avec l'UE, à savoir : le Cameroun, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Gabon, le Ghana, la Guyane, le Honduras, l’Indonésie, le Libéria, la République du Congo, la République du Laos, la Malaisie et le Vietnam.
    Les appels à propositions sont ouverts aux parties prenantes locales (gouvernement, société civile et organisations du secteur privé) qui jouent un rôle dans la mise en œuvre de l’APV. Chaque projet est limité à un financement maximal de 100 000 EUR, avec une contribution bénéficiaire minimale de 20 % du montant total nécessaire au projet. Les propositions doivent concerner au moins une priorité thématique nationale définie en collaboration avec les pays APV.  Il s’agit du deuxième appel à propositions du programme après le premier de 2012.
    La date limite de dépôt des propositions est le 31 mai 2013.

    L'APV est un élément essentiel du programme de soutien ACP-FLEGT, un effort collaboratif de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, de la Commission européenne et du Groupe d’États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) face aux questions relatives à l'application des règlementations forestières, à la gouvernance et au commerce au sein des pays membres ACP.


    Source : FAO


    Link En savoir plus [EN]
    Link En savoir plus sur le programme
    Link Cameroun: logo pour le bois, contre les produits illégaux


  11. Indications géographiques européennes : €54 milliards
    2013-03-14
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Agriculture

    « Nos IG dans le monde représentent 54,3 milliards d’EUR et 15 % de nos exportations totales de nourriture et de boissons », a déclaré Dacian Cioloş, commissaire chargé de l’agriculture et du développement rural, à la suite de la publication d'une étude analysant la valeur du système de l’UE de protection des appellations pour l’ensemble des produits alimentaires et agricoles (« indications géographiques », ou « IG ») le 4 mars dernier.
    L’étude révèle également qu’en moyenne, les produits bénéficiant d’une IG se vendraient 2,23 fois plus que les autres produits.
    Il s’agit de la première étude de ce type, qui collecte et analyse des données économiques sur la période 2005-2010. Elle a tenu compte des 2 768 appellations de l’UE, dont 1 560 correspondent à des vins.
    L’étude montre qu’entre 2005 et 2010, 20 % des IG européennes ont été exportées en dehors de l’UE, les exportations hors UE représentant quelque 11,5 milliards d’EUR pour des produits principalement destinés aux États-Unis (30 %), à la Suisse et à Singapour (7 % chacun), au Canada, à la Chine, au Japon et à Hong-Kong (6 % chacun).
    Cependant, la majorité des ventes de produits IG européens, soit 60 %, a eu lieu dans le pays d’origine desdits produits, contre 20 % dans d’autres pays de l’UE.
    Pour la même période, les vins représentent 56 % des ventes totales de produits de l’UE bénéficiant d’appellation protégée (30,4 milliards d’EUR). Les produits agricoles et les produits alimentaires représentent 29 % (15,8 milliards d’EUR).
    L’« indication géographique » (IG) est l’appellation d’un produit dont une qualité, réputation ou autre caractéristique donnée est essentiellement attribuable à son origine géographique. Il s’agit d’un droit de propriété intellectuelle qui s’applique à différents types de produits dans l’UE.
    Un nouveau règlement sur les systèmes de qualité des produits agricoles et des denrées alimentaires de l’UE est entré en vigueur le 3 janvier 2013. Il jette les bases juridiques de l’inclusion d'accords bilatéraux de protection de l'IG de pays tiers dans le registre de l'UE.
    Le lundi 26 novembre à Zanzibar (Tanzanie), la Commission européenne a signé un accord de coopération avec l’Organisation régionale africaine de la propriété industrielle (ARIPO) visant à améliorer la protection des produits agricoles traditionnels (les indications géographiques, ou « IG ») en Afrique.

    Le prochain Briefing de Bruxelles aura lieu le 17 avril. Il sera consacré au thème « Alimentation, géographie et traditions locales : protection des produits alimentaire traditionnels ». Les indications géographiques figureront également à l’ordre du jour.
    Inscrivez-vous à l'adresse suivante : http://bruxellesbriefings.net

    Source : Commission européenne


    Link En savoir plus [EN]
    Link Lire le rapport [EN]
    Link CE soutient la protection des IG en Afrique [vidéo]


  12. Fidji appelle l’UE à conclure l’APE
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE

    Fidji a appelé l’Union européenne à respecter le délai du mois de juin fixé par les pays PACP pour la conclusion de l’accord détaillé de partenariat économique (APE).
    S’exprimant lors de la réunion d'un groupe de travail technique PACP-UE à Nadi le vendredi 8 mars dernier, le procureur général Aiyaz Sayed-Khaiyum a appelé à un engagement ferme de l’UE afin de garantir l'obtention d'un accord. « Mon message à ce groupe est que nous n’avons qu’un cadre d’action limité pour mettre en place les bénéfices de développement de l’APE. Les dirigeants PACP ont déjà prolongé les délais de conclusion de l’APE à deux reprises. Nous avons besoin d’un accord ferme et de la coopération de l’UE afin de garantir que les négociations soient conclues en juin 2013 », a-t-il déclaré.
    Le procureur général a ajouté que Fidji était impliqué dans les efforts des pays PACP pour négocier un accord de partenariat économique en tant que région unique. Cela permettrait aux nations du Pacifique de mettre en commun leurs ressources de pêche et de participer à des initiatives conjointes, ce qui n’est pas possible dans le cadre des accords actuels.
    Pour le procureur général, les nations du Pacifique sont particulièrement attachées à l’inclusion de la notion d'approvisionnement mondial de la pêche. Cette notion permettrait aux pays PACP de se fournir auprès de sources approuvées, notamment des navires non PACP, de transformer le poisson et de l’exporter vers l’UE. Cela bénéficierait aux pays du Pacifique qui ne disposent pas de leurs propres navires de pêche.
    Fidji a signé des APE intermédiaires en 2009 qui lui donnent accès aux marchés du sucre et de la pêche, mais un accord global pour les autres pays ACP du Pacifique doit encore être conclu.

    Source : Portail en ligne du gouvernement fidjien


    Link En savoir plus [EN]
    Link Fidji veut un « approvisionnement mondial » pour le poisson
    Link Fidji : un avenir prometteur pour les négociations APE ?


  13. Fidji veut un « approvisionnement mondial » pour le poisson
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Pêche Régionale

    Les règles d’origine de l’exportation de poisson sont l’une des questions clés débattues dans le cadre de l’accord détaillé de partenariat économique (APE) entre l’UE et les pays des pays ACP du Pacifique (PACP).
    « Fidji et les États ACP du Pacifique aspirent à des règles d'origine favorables pour les produits de la pêche, en particulier pour le poisson frais, surgelé et réfrigéré. On parle généralement de dispositions sur l’approvisionnement mondial », a déclaré le secrétaire permanent du ministère de l’industrie et du commerce de Fidji, Shaheen Ali.
    En d’autres termes, Fidji veut obtenir une dérogation aux règles afin de permettre la transformation du poisson provenant de navires étrangers (et locaux) dans des usines du Pacifique et son exportation dans l’UE, à des taux de taxation préférentiels. Cette dérogation permettrait à Fidji de se fournir auprès de sources approuvées, de transformer le poisson et de l’exporter vers l’UE.
    Alors que les États ACP du Pacifique disposent de ressources de pêche, selon le secrétaire permanent nombre d’entre eux, en particulier les petits États insulaires, n’ont pas les infrastructures et les capacités leur permettant de transformer le poisson en conserve. Il a ajouté que de nombreux États PACP ne disposent pas de navires de pêche, essentiels afin que leur poisson soit autorisé à pénétrer le marché de l’UE sans être taxé.
    « L’approvisionnement mondial permettra aux États ACP du Pacifique de se fournir en poisson pêché dans les eaux PACP et de l’exporter vers l’UE. Peu importe qui le pêche tant qu’il est débarqué et transformé dans la région », a conclu Ali.

    Les règles actuelles ne permettent pas aux pays PACP d’acheter du poisson pour l’exporter vers l’UE auprès de navires étrangers et battant pavillon étranger, même si le poisson a été pêché dans leurs eaux.
    En vertu de l’accord intermédiaire, l’UE a consenti à l’approvisionnement mondial pour le poisson en conserve du Pacifique. Mais les pays PACP souhaitent que cette mesure soit étendue au poisson frais et surgelé.

    Source : The Fiji Times Online


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    Link Fidji: Décisions de l’UE mettent en péril le poisson et le sucre
    Link Fidji exhorte l'UE à conclure l'APE


  14. Madagascar : aide humanitaire d'urgence de 200.000 euros
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Archives

    La Commission européenne a débloqué le 1 mars une aide humanitaire d'urgence de 200.000 euros en faveur des victimes du cyclone Haruna, qui a frappé la côte Sud et Sud-Ouest du Madagascar le 22 février 2012.
    Cet appui répondra aux besoins vitaux pouvant assurer la survie des plus vulnérables, grâce à la fourniture de soins de santé, d'eau, et d'abris. L'aide de la Commission européenne parviendra aux populations les plus affectées par l'intermédiaire de ses partenaires humanitaires travaillant déjà sur le terrain.
    Madagascar est particulièrement exposé aux cyclones. Cette année, le cyclone le plus fort jusqu'à présent, Haruna, a frappé la côte Sud et Sud-Ouest le 22 février faisant 24 morts et touchant plus de 30.000 personnes qui nécessitent une assistance humanitaire directe. Plusieurs parties de la région sont toujours inondées et seulement accessibles par bateau ou voie aérienne.

    En 2012, la Commission européenne a fourni à Madagascar une aide d'urgence d'un montant de 1 million d'euros en réponse aux dégâts causés par le cyclone Giovanna et la tempête tropicale Irina qui avaient causé plus de 100 morts et plus de 300.000 victimes. Madagascar bénéficie également du programme de la Commission européenne pour la prévention des catastrophes naturelles en Afrique australe, connu sous le nom DIPECHO. Depuis 2010, la Commission européenne a consacré 5 millions d'euros de ce programme.

    Source : Commission Européenne


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    Link Aide d'urgence d'un million d'euros en faveur des victimes des cyclones à Madagascar
    Link Plus sur la réduction des risques de désastres


  15. Afrique et UE : mise en œuvre des technologies de navigation satellite
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Archives, Politique ACP-UE

    Dans le contexte de la collaboration entre l’Afrique et l’UE sur la mise en œuvre des technologies de navigation satellite, avec un impact potentiel majeur sur le développement économique, la GSA (l’autorité européenne de surveillance des GNSS) a lancé le projet « Awareness in Africa » (AiA) afin d’organiser des ateliers rassemblant les parties prenantes concernées des institutions publiques et du secteur privé et de mettre en lumière les avantages des GNSS (systèmes mondiaux de navigation satellite) dans les pays africains.
    L’atelier a montré que les applications utilisant les systèmes mondiaux de navigation satellite (GNSS) dans des secteurs tels que le transport, la gestion des terres, la sécurité maritime et les industries pétrolière et minière peuvent avoir un impact rapide, avec des bénéfices potentiels estimés à plusieurs centaines de millions d’euros dans les années à venir.
    Dans le cadre de ce projet, trois événements ont été organisés. Deux ont eu lieu en 2012 : du 2 au 3 novembre à Libreville, au Gabon, et du 14 au 15 novembre à Dakar, au Sénégal. Le troisième s’est tenu à Yaounde, au Cameroun, les 7 et 8 février de cette année. Ils visaient à promouvoir les capacités des GNSS et leurs applications, en particulier afin de démontrer la valeur intrinsèque de ces technologies dans le contexte du développement durable et de la lutte contre la pauvreté.
    En tant qu’autorité de réglementation officielle de l’Union européenne, l’agence européenne des GNSS (GSA) gère les intérêts publics liés aux programmes de GNSS européens. Les objectifs stratégiques de l’agence sont notamment la mise en place pleinement opérationnelle du système GALILEO, le système de navigation satellite mondial contrôlé au niveau européen.


    Source : GSA, Commission européenne


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    Link Plus sur le projet [EN]
    Link Plus sur Galileo [EN]


  16. L'UE et la FAO soutient la nutrition et à la sécurité alimentaire au Malawi
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Sécurité alimentaire, Politique ACP-UE

    ‘L'UE et la FAO partagent la même vision de la nutrition et de la sécurité alimentaire et elles uniront leurs forces pour aider le Malawi et tous les pays d'Afrique subsaharienne à affronter ce problème,’ Andris Piebalgs, commissaire européen chargé du développement a déclaré avant d'une visite de haut niveau au Malawi le 5 Mars.
    Andris Piebalgs, commissaire et José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO, ont rencontré aujourd'hui Joyce Banda, Présidente du Malawi, afin d'examiner avec elle les défis auxquels son pays est confronté dans le domaine de la nutrition et de la sécurité alimentaire et de mettre l'accent sur l'aide en cours de l'UE et de la FAO dans ce domaine.
    De son côté, José Graziano da Silva a souligné: «Le Malawi s'est engagé au plus niveau à éradiquer la faim et l'extrême pauvreté. Il reconnaît le droit à l'alimentation, investit plus de 10 % de son budget national dans l'agriculture et est passé du statut d'importateur de riz à celui d'exportateur. Ce faisant, il est en voie de réaliser l'Objectif du Millénaire pour le développement visant à réduire la faim ('Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population qui souffre de la faim').»

    En 2012, le commissaire Piebalgs et la présidente Banda ont signé deux accords. Le premier, qui prévoit un montant de 63 millions d'euros en faveur de l'agriculture, vise à renforcer la productivité agricole et à étendre la superficie des terres irriguées. Le second porte sur une contribution de l'UE à hauteur de 35 millions d'euros qui financera des transferts de liquidités en faveur de ménages extrêmement démunis pour les aider à sortir de la pauvreté et à ne plus souffrir de la faim.
    L'UE a dépensé 605 millions d'euros au titre du  Fonds européen de développement (FED) sur la période 2008-2013. Aussi, depuis 1986, la FAO aide le Malawi à élaborer et à mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à améliorer l'agriculture, l'exploitation forestière et la pêche, et à garantir une sécurité alimentaire et une nutrition correcte pour tous.

    Source: FAO, European Commission


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    Link Plus sur l'action de l'UE pour le développement du Malawi [EN]
    Link Coopération UE/Malawi pour améliorer la production agricole


  17. UE : Règles contre l’exploitation illégale des forêts
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Environnement, Politique ACP-UE

    Des règles européennes destinées à lutter contre le commerce de bois d’origine illégale sont entrées en vigueur. Des ONG et des groupes de réflexion doutent cependant de la capacité de l’UE à appliquer la législation.
    Ces nouveaux textes de loi, entrés en vigueur lundi (4 mars), imposent aux opérateurs qui importent ou produisent du bois d'identifier le pays d'origine et s’il a été exploité en toute légalité. Le Parlement européen et le Conseil ont le règlement le 20 octobre 2010.
    Il interdit la vente de bois issu d'une récolte illégale sur le marché européen afin de réduire la hausse des émissions de CO2, la corruption, les conflits armés, la destruction de communautés vulnérables et les bénéfices provenant du commerce mondial que des analystes associent à la déforestation et à la désertification.
    Ce règlement de l'UE oblige les États membres à établir « des sanctions efficaces, proportionnées et dissuasives ». Malgré deux années de préparation, les États membres de l'UE ne sont pas parvenus à appliquer la législation ou à imposer des pénalités et des sanctions convaincantes, selon une analyse de WWF :  « Les institutions de l'Union européenne ont pris une décision historique en introduisant le règlement de l’UE concernant le bois et des produits dérivés. Ce règlement n’a cependant pas de sens s'il ne devient par un texte de loi national solide », a déclaré Anke Schulmeister, conseillère chargée des questions forestières à WWF Europe.
    Dans certains États membres, le commerce de bois illégal peut entraîner des sanctions pénales. Dans d'autres, il conduirait seulement à une amende, a indiqué WWF, en ajoutant qu'il doutait que tous les pays de l'UE appliquent le texte de loi avec la même rigueur.
    Le règlement couvre les bois et les produits du bois fabriqués dans l'UE et importés, dont le papier et la pâte pour renforcer les meubles en bois et le plancher. Il est également sans précédent, car il contraint les négociants à appliquer le système de « diligence raisonnée » afin qu'ils vendent du bois issu de sources légales.
    Afin de lutter contre l'exploitation illégale, l'UE poursuit également des accords bilatéraux avec six principaux pays producteurs de bois : le Cameroun, le Ghana, l'Indonésie, le Liberia, la République centrafricaine et la République démocratique du Congo.

    Source : Euractiv


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    Link Plus sur le Règlement sur le bois [EN]
    Link Cameroun: logo pour le bois, contre les produits illégaux


  18. Deuxième appel à propositions de la deuxième Facilité énergie ACP-UE
    2013-03-13
    Catégorie(s) : Archives, Environnement, Politique ACP-UE

    Le deuxième appel à propositions de la deuxième Facilité énergie ACP-UE a été lancé et reste ouvert jusqu’au 3 Juin 2013. L'objectif est de fournir des subventions pour les investissements pour l'électrification rurale dans les ruraux pauvres. Le budget total est de 55 millions d'euros.
    La Facilité Energie est un instrument de cofinancement établi en 2005 pour soutenir des projets améliorant l’accès aux services énergétiques durables et abordables en milieu rural et périurbain dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP).
    La première Facilité énergie ACP-UE était financée par le Fonds Européen de Développement à hauteur de EUR 200 millions pour la période 2009-2013. La deuxième Facilité énergie ACP-UE a reçu EUR 200 millions pour la période 2009-2013. Elle est un des instruments mettant en oeuvre le partenariat Afrique-UE pour l'énergie.

    Pour télécharger les lignes directrices, formulaire de demande et les annexes correspondantes, veuillez visiter le site Web suivant.

    Source : Commission Européenne.


    Link En savoir plus
    Link Plus sur la Facilité ACP-UE pour l'Energie
    Link Plus sur le partenariat Afrique-UE pour l'énergie [EN]
    Link Lignes_directrices_pour_la_demande_de_subvention.pdf

  19. Première réunion du Partenariat européen d’innovation
    2013-03-12
    Catégorie(s) : Agriculture

    Le 21 février, la Commission européenne a organisé une première réunion du Partenariat européen d’innovation (PEI) « Productivité et durabilité agricoles », en faveur de la sécurité alimentaire, de la gestion durable des ressources et de la préservation de l'environnement.
    Cette réunion rassemblait 42 membres, notamment des représentants des ministères des États membres, d’organisations agricoles et forestières, d’organisations de consommateurs, de services de conseil, d’entreprises agricoles et de scientifiques. Elle visait à assurer un transfert plus rapide des résultats de recherche novateurs de la science à la pratique, à encourager le partage de connaissances et d’expériences et à assurer un retour plus systématique vers la communauté scientifique sur la recherche nécessaire.
    Le comité directeur de haut niveau était coprésidé par le commissaire en charge de l'agriculture et du développement rural, Dacian Cioloş, et par la commissaire en charge de la recherche, de l’innovation et de la science, Máire Geoghegan-Quinn.
    Cette première réunion a permis de lancer le PEI en mettant en place un plan de mise en œuvre stratégique et en orientant sur les principaux domaines à explorer.


    Source : Commission européenne


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    Link Ordre du jour de la réunion


  20. Nouvelle présidence pour le Groupe ACP
    2013-03-12
    Catégorie(s) : Politique ACP-UE

    Le nouveau président du Groupe ACP pour la période de février à juillet 2013 est le ministre des affaires étrangères du Botswana, Phandu T. SKELEMANI. Cette décision a été prise le jeudi 21 février au Comité des ambassadeurs ACP.
    Par ailleurs, le président du Comité des ambassadeurs à Bruxelles est Samuel O. OUTLULE.
    Concernant les priorités de ce mandat de 6 mois, l’ambassadeur OUTLULE a insisté sur un processus crucial à ses yeux : définir les perspectives d'avenir du Groupe ACP, comme recommandé lors du dernier Sommet des chefs d'État et de gouvernement (Guinée équatoriale, décembre 2012), mais également mettre en œuvre de manière efficace les décisions des organes de gouvernance des pays ACP, en éliminant les doubles emplois au sein des sous-comités, du Secrétariat et du Comité des ambassadeurs.
    Parmi les autres priorités de la nouvelle présidence ACP, citons le dialogue avec les autorités de l’Union européenne sur le 11e FED (Fonds européen pour le développement 2014-2020). En ce qui concerne la signature des nouveaux Accords de partenariat économique (APE) avec l’UE, la nouvelle présidence du Groupe s’attachera également prioritairement à faire face aux contraintes infrastructurelles de fourniture et de commerce des pays ACP afin de renforcer les capacités d’exportation.
    La première réunion du groupe se tiendra à Bruxelles le 25 mars 2013.  
    Le Conseil des ministres devrait se réunir le 26 mars et doit prendre une décision sur la nomination du futur Secrétaire général ACP, le Dr Mohamed IBN Chambas ayant récemment été nommé à la fonction de représentant spécial conjoint ONU-UA et de médiateur en chef pour le Darfour.

    Source : ACP


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    Link Plus sur le groupe ACP
    Link Plus sur le Secrétaire Général du Groupe


  21. L'existence d'émissions indirectes de biocarburants confirmée
    2013-03-12
    Catégorie(s) : Environnement

    Des biocarburants élaborés à partir de cultures alimentaires engendreront indirectement des émissions nettes de gaz à effet de serre à l’avenir, confirment les résultats préliminaires de deux études sur l’histoire du changement de l’utilisation des sols.
    Ces dernières conclusions renforceront de manière significative le bien-fondé d’inclure des facteurs du changement indirect d'affection des sols (CASI) dans la révision de la législation européenne.
    Ces deux études ont été rédigées par le Centre commun de recherche (CCR) de l'UE, l'Agence d'évaluation de l'environnement des Pays-Bas (PBL) et Koen Overmars, un cabinet-conseil néerlandais indépendant.
    « Le CASI est une réalité », a déclaré Luisa Marelli, responsable scientifique des combustibles de substitution au CCR, lors d'un atelier le 20 février au Parlement européen. « Tous les modèles et études révèlent à présent l'incidence du CASI et elle est supérieure à zéro [émission de gaz à effet de serre] ».
    L'acronyme CASI fait référence à une perte nette de carbone qui survient lorsque des forêts et des prairies sont défrichées pour la production alimentaire, déplacée à cause des plantations de biocarburants.

    Source : Euractiv


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  22. PE : l'UE doit passer à la vitesse supérieure
    2013-03-08
    Catégorie(s) : Politique de développement, Politique ACP-UE

    Pour éviter de perdre encore de l'influence au niveau mondial, l'UE doit utiliser beaucoup plus efficacement les outils existants de sa politique étrangère et concevoir une nouvelle stratégie de sécurité, ont affirmé les députés, lors lors du dernier comité sur le Développement et coopération / Relations extérieures  tenu à Bruxelles le 21 février dernier.
    La discussion a porté sur l'élaboration d'une stratégie européenne globale, ce qui devrait aider à définir un mandat plus clair pour le chef de la politique étrangère européenne. L'initiative lancée par les ministres des affaires étrangères d'Italie, de Pologne, d'Espagne et de Suède, alimentera également le débat sur la défense des chefs d'Etat et de gouvernement, lors de leur sommet décembre.
    Le Service européen d'action extérieure "n'est pas encore achevé", a déclaré le président de la commission parlementaire des affaires étrangères, Elmar Brok (PPE, DE), estimant qu'"il est impossible de mettre en place un tel service qui soit parfait en deux ans". Avec d'autres députés européens et députés nationaux, M. Brok a appelé à une nouvelle définition des objectifs stratégiques communs de l'UE et à une révision de la stratégie de sécurité européenne de 2003.

    Source : Commission Européenne


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    Link Revoir la conférence de presse après le débat
    Link ‘Vers une stratégie européenne globale’ : Exposé [EN]


  23. Fidji: Décisions de l’UE mettent en péril le poisson et le sucre
    2013-03-08
    Catégorie(s) : Commerce ACP-UE, Pêche Régionale, Politique ACP-UE

    Une alerte rouge a été lancée pour deux des principaux produits d’exportation des Fidji, à savoir le poisson, qui rapporte annuellement près de 200 millions de dollars en revenus étrangers, et le sucre, qui engrange près de 100 millions de dollars par an.
    Cette alerte fait suite à l’inscription éventuelle des Fidji sur la liste noire de l’Union européenne (UE) en raison de leur législation insuffisante pour s’attaquer au problème de la pêche illégale et à l’augmentation des exportations de sucre qui pourrait survenir si le pays ne ratifiait par l’accord de partenariat économique intérimaire (APEI).
    En novembre de l’année dernière, une décision de la Commission européenne a dénoncé huit pays qui exportent vers l’UE (dont les Fidji et le Vanuatu, pour la région du Pacifique) qu’elle pourrait considérer comme non coopérants à la lutte de l’UE contre la pêche illégale, illicite et non réglementée (IIN).
    Aujourd’hui, ces huit pays sont pressés de mettre à jour leur législation pour pouvoir remédier aux points faibles repérés par l’UE ; ils bénéficient d’un délai de six mois pour dialoguer et établir un plan d’action. Dans le pire des cas, s’ils ne se conforment pas aux règles de l’UE, ils perdront leur accès au marché européen pour le poisson. Les Fidji, qui représentent l’un des « cas flagrants », sont citées entre autres parce qu’elles ne disposent pas de lois pour punir les navires battant pavillon fidjien et les ressortissants nationaux qui pêchent illégalement en dehors des eaux fidjiennes, en particulier en haute mer, sans parler du nombre de navires qui pêchent l’espadon.
    Cette dernière annonce de l’Union européenne concernant le poisson s’inscrit dans la foulée d’une décision prise concernant le sucre qui « force un peu la main des Fidji pour qu’elles ratifient l’accord de partenariat économique intérimaire (APEI) conclu avec l’UE », note l’Island Business. Dans cette décision de septembre 2012, les Fidji figuraient sur une liste de 18 pays du bloc commercial de l’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) qui perdront leur accès préférentiel au marché pour le sucre (au titre du protocole sur le sucre en vigueur) s’ils ne ratifient pas l’APEI d’ici le 1er janvier 2014.
    Les Fidji cherchent à passer d’une exemption des droits d’importation (conformément au protocole sur le sucre actuellement en vigueur) à 339 € maximum (769 dollars fidjiens) de droits à l’importation par tonne de sucre brut de canne qu’elles exportent vers l’UE si elles ne ratifient pas l’APEI d’ici le 1er janvier 2014. Il est estimé que cette mesure rendrait le commerce du sucre des Fidji impossible.
    De plus, contrairement au poisson - qui n’avait que récemment été réintroduit sur le marché européen après que les Fidji ont été placées sur la liste noire en 2008 pour le non-respect des normes phytosanitaires de l’UE-, le sucre a toujours été le principal produit d’exportation des Fidji vers l’UE. L’Island Business poursuit en expliquant que l’importance de leur secteur sucrier était la principale raison ayant incité les Fidji à signer un APEI en 2009 alors que, contrairement aux marchés du poisson, que les exportateurs locaux ont diversifié après l’interdiction de 2008, l’introduction du sucre sur un marché au prix pratiqué au niveau mondial par rapport au coût de production au niveau local sonnerait le glas de l’industrie sucrière des Fidji.

    Par ailleurs, près d’un quart de la main-d’œuvre des Fidji dépend du commerce entre les Fidji et l’UE.
    Source : Islands Business


    Link En savoir plus [EN]
    Link L’UE doit donner le bon exemple dans la lutte contre l’INN
    Link Fidji : un avenir prometteur pour les négociations APE ?


  24. Les citoyens de l'UE : participation accrue des femmes dans les pays en développement
    2013-03-08
    Catégorie(s) : Archives

    À la veille de la Journée internationale de la femme 2013, un nouveau sondage Eurobaromètre montre que, pour 78 % des Européens, la présence d'un plus grand nombre de femmes aux postes à responsabilités politiques dans les pays en développement «serait un plus».
    En fait, plus des trois quarts des personnes interrogées ont déclaré que si davantage de femmes occupaient des rôles de premier plan dans les pays en développement, la situation en matière de respect des droits de l'homme s'en trouverait améliorée. En outre, 72 % d'entre elles ont affirmé que cela permettrait également d'améliorer les conditions de vie et 65 % que cela contribuerait à prévenir les conflits et les guerres.
    Plus de neuf Européens sur dix pensent que l'égalité hommes-femmes a des effets positifs sur la manière dont les sociétés fonctionnent en général et que tous les programmes d'aide devraient tenir spécifiquement compte des droits des femmes.
    Le commissaire européen au développement, M. Andris Piebalgs, s'est exprimé en ces termes: «Nous plaçons les femmes au cœur de toutes nos actions en faisant en sorte que nos programmes d'aide tiennent compte des femmes dans tous les domaines, qu'il s'agisse de l'éducation et des soins de santé ou de l'agriculture et de l'énergie. Je me réjouis dès lors de constater que la majorité des Européens approuve cette approche.»
    Plus de 25 000 citoyens des 27 États membres ont été consultés aux fins de cette enquête.

    Source : Commission Européenne


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    Link Pour en savoir plus sur le travail accompli par l’UE en faveur des femmes
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Rédacteur : Cristina Dobos (dobos@cta.int)

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