Antoine Fiévet, Président-Directeur Général du Groupe Bel, a inauguré à Abidjan, la semaine dernière, en présence des autorités ivoiriennes et françaises, une usine de production de La Vache qui rit. Il est le fruit d’une étroite collaboration entre les autorités ivoiriennes et Bel. Le groupe franchit ainsi un pas supplémentaire sur le continent africain où il connait un rythme de croissance soutenu, avec un chiffre d’affaires en progression de 8% en 2015. L’usine implantée dans la zone industrielle de Yopougon à Abidjan a pour vocation d’alimenter le marché ivoirien en produisant La Vache qui rit au plus près de ses bassins de consommation. Avec une capacité de production qui répond aux besoins actuels du marché, le site constitue une première étape dans le développement de la marque en Côte d’Ivoire avec une production locale de l’ensemble des portions de La Vache qui rit commercialisées sur le territoire ivoirien.
Source: agro-media.fr
Pour aider les Îles Fidji à se remettre du passage du cyclone Winston, l'Union européenne et la Communauté du Pacifique viennent de donner 43 000 graines et semences de fruits et légumes. Il s'agit de choux, d'aubergines, de tomates, de piments et de papaye. D'autres semences devraient être envoyées dans les prochains mois. L'Union européenne souhaite aussi faciliter la relance de la production de canne à sucre ; le secteur fait vivre plus du quart des Fidjiens, directement ou indirectement. Aucun budget spécifique n'a toutefois été alloué pour le moment, précise Andrew Jacobs, l'ambassadeur de l'Union européenne pour le Pacifique.
À compter de ce mardi 22 mars et jusqu’à jeudi, l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) en Haïti de concert avec le Ministère de l'Environnement, organise à Jérémie, à la Salle de conférence de l'Hôtel Le Sarah, un atelier d'évaluation des capacités et de priorité des besoins en renforcement des capacités, dans le cadre du projet d'Action Contre la Désertification (ACD), financé par l'Union Européenne à hauteur de 2 millions d’euros dans 5 communes du Département de la Grand'Anse (Bonbon, Abricots, Jérémie, Moron et Dame-Marie). Cet atelier, a pour objet d'identifier les capacités existantes et les capacités nécessaires à toutes les parties prenantes impliquées dans la planification, la mise en œuvre et e suivi-évaluation des actions de gestion des ressources naturelles et de lutte contre la désertification. Il vise également à prioriser les besoins en développement des capacités dans le cadre du projet d'Action Contre la Désertification.
Source: haitilibre.com
L’utilisation de la technologie nucléaire civile dans le développement agricole en Afrique de l’Ouest a été au centre d’une tournée du directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA),Yukiya Amano, qui s’est entretenu, le 22 mars à Abidjan, avec le ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly. De ces échanges, il est ressorti qu’au-delà de ses fonctions militaires, le nucléaire a des facettes « pacifiques » qui peuvent contribuer à conserver des aliments sur une longue période et permettre également de lutter contre les parasites de certains produits comme les fruits et légumes. Le ministre Sangafowa a souligné à cette occasion qu’au niveau de la Côte d’Ivoire, un travail sera fait en vue de « rassurer les uns et les autres que les technologies nucléaires qui sont utilisées dans les autres secteurs, le seront dans les conditions optimales et surtout dans les conditions sécurisées ». L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), aide ses 160 états membres dont la Côte d’Ivoire à accroître leur production alimentaire et à en améliorer la qualité et la sécurité sanitaire en faisant appel à la technologie nucléaire, tout en favorisant l’exploitation durable des ressources agricoles.
Source: news.abidjan.net
C’est une promesse de développement et pas des moindre ! Certes, elle concerne 20 pays du continent, (du centre et de l’ouest), mais ne garantit pas des opportunités d’affaires immenses pour le Gabon, le Cameroun, le Congo, la Centrafrique, le Tchad et la Guinée Equatoriale, les six pays de la zone Cemac. Globalement, un prêt de 500 millions de dollars américains, sera injecté pour concrétiser le projet de faire de la distribution, grande et petite, un pôle économique comme les autres. CFAO, le groupe français déjà présent dans la sous-région dit vouloir développer plusieurs formules de centres commerciaux : des hypermarchés avec des galeries marchandes et des espaces pour les produits alimentaires, des supermarchés et des grandes surfaces intégrées offrant des produits de marques. L’idée qui connaît déjà un écho favorable dans les pays comme la Côte d’Ivoire fait la promesse d’offres d’emplois assez conséquentes et les centres, seront des pôles distribution de marques locales afin de faire valoir leur potentiel.
Source: gaboneco.com