Plus de 1 500 jeunes et PME à fort potentiel de croissance vont bénéficier de l'initiative, sur l'ensemble du continent africain. Abidjan, Côte d'Ivoire, le 21 novembre 2016 – Boost Africa, une initiative unique favorisant l'innovation et l'esprit d'entreprise sur l'ensemble du continent africain, a été lancée ce jour à Abidjan par la Banque européenne d'investissement (BEI) et la Banque africaine de développement (BAD), en partenariat avec la Commission européenne. La cérémonie de lancement a eu lieu, en présence de Werner Hoyer, le président de la BEI, Akinwumi Adesina, le président de la BAD, Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI et Stefano Manservisi, directeur général de la coopération internationale et du développement à la Commission européenne.
Marie Chantal Mfoula, Secrétaire générale adjoint de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (Ceeac) a pris part le 27 octobre dernier à Bruxelles, au 5ème comité de pilotage du Programme d'appui à la consolidation du cadre d'action pour le partenariat Union européenne-Afrique sur le coton (Programme Coton ACP-UE) et au 21ème comité d'orientation et de suivi de partenariat UE – Afrique sur le Coton (Cos-coton). La représentante de la Ceeac a indiqué qu'au niveau des trois pays concernés par le programme (Burundi, Cameroun et Tchad), les ateliers de formation sur l'approche « Value Links » (chaînes de valeurs) et la conduite de la concertation au sein de la filière coton ont été organisés.
Depuis sa parution il y a quelques semaines, notre livre Entreprenante Afrique a suscité beaucoup de commentaires, certains très positifs, d'autres plus critiques. L'un des axes de la critique consiste à affirmer que nous tenons un propos trop enthousiaste sur la place des entrepreneurs et que nous négligeons le rôle de l'Etat en Afrique. Tel n'est pourtant pas notre propos. Notre livre insiste au contraire sur la nécessaire intervention des Etats, et ce sur tous les plans (comme la gouvernance, les infrastructures, la santé, l'éducation...), tout en reconnaissant et en démontrant que le secteur privé africain – et donc l'entrepreneuriat – constitue le principal moteur des économies du continent.
Theo de Jager, président de l'Organisation panafricaine des agriculteurs (PAFO), Ignace Coussement, directeur général d'AgriCord et Michael Hailu, directeur du CTA, ont signé mercredi 21 septembre 2016 un mémorandum d'entente sur l'établissement d'un partenariat stratégique soutenant le développement des capacités des organisations d'agriculteurs en Afrique, grâce à des politiques publiques plus efficaces, des technologies innovantes et des capacités renforcées. La signature du mémorandum d'entente s'est déroulée lors d'une cérémonie organisée au Secrétariat du groupe d'États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), à Bruxelles.
Le Briefing de Bruxelles sur le Développement numéro 46 sur le thème de « Développer l'industrie agroalimentaire dans les PEID: le potentiel des marchés associés au tourisme » aura lieu le mercredi 21 septembre 2016 (9h00-13h00) au Secrétariat ACP (Avenue Georges Henri 451, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles est organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DEVCO), CONCORD et le Secrétariat ACP.
Le Briefing de Bruxelles sur le Développement numéro 46 sur le thème de « Développer l'industrie agroalimentaire dans les PEID: le potentiel des marchés associés au tourisme » aura lieu le mercredi 21 septembre 2016 (9h00-13h00) au Secrétariat ACP (Avenue Georges Henri 451, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles est organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DEVCO), CONCORD et le Secrétariat ACP.
"Le premier semestre de 2016 est conforme à nos attentes, avec une croissance presque entièrement générée par les volumes et le mix produits, conduisant à de nouveaux gains de parts de marché", déclare ce matin Paul Buckle, administrateur délégué de Nestlé, à l'occasion de la publication des résultats semestriels du groupe. Paul Buckle qui, dans son propos introductif, cite tous les continents du monde sauf l'Afrique qu'elle soit du Nord ou sub-saharienne.
Avec des ventes de produits laitiers qui se sont élevées à 25 milliards de dollars en 2015, Nestlé, la multinationale suisse basée à Vevey, conserve la première place du classement annuel des vingt plus grandes entreprises laitières dans le monde, établi par Rabobank. Les deux géants français du secteur, Lactalis et Danone, trustent respectivement la deuxième et la troisième place. Ce classement brosse le tableau d'une industrie en pleine mutation. Les compagnies laitières s'échinent, d'une part, à conserver leur rentabilité malgré une tendance à la baisse des prix des denrées alimentaires. Par ailleurs, elles tendent à se désengager du marché chinois et se concentrent davantage sur les pays émergents, notamment en Afrique, terrain de chasse encore relativement vierge.
Paul Bulcke, directeur général de Nestlé, est confiant de voir la reprise économiques se concrétiser en Afrique. Le continent a bénéficié d'une croissance "plus stable que dans le reste du monde ces dernières années", précise le futur président du groupe alimentaire vaudois. Paul Bulcke rappelle qu'il y a seulement "deux ou trois ans" durant lesquels le continent a enregistré "un peu moins" de croissance économique. "Tout le monde disait alors que c'était fini!" a indiqué le Belge.
La dernière enquête de la banque néerlandaise Rabobank met en lumière une année difficile pour les multinationales laitières. La chute des cours des matières premières laitières en est en grande partie responsable. La volatilité des devises, et l'affaiblissement de l'euro face au dollar US, est elle aussi pointée du doigt. Pas de nouvel arrivant dans le classement des vingt plus gros transformateurs laitiers mondiaux. Le podium n'a pas changé non plus: les français Lactalis (16,5 milliards d'euros, M€) et Danone (15,1 M€) suivent le suisse numéro un, Nestlé (22,5 M€). Deux autres groupes français, Sodiaal et Savencia, apparaissent dans le top 20, mais perdent du terrain. Ils se positionnent respectivement à la 14e et 19e place, contre 13e et 15e en 2015.